
13 avril 2025 #TCHAD #Armée Nationale : Pourquoi le général d’armée Abdelrahim Barh Mahamat Itno est radié de l’armée ?
Le général d’armée Abdelrahim Barh Mahamat Itno est cassé au grade de soldat de 2ème classe et radié du contrôle des effectifs des forces de défense et de sécurité pour faute grave. Selon un deuxième décret du président de la République Mahamat Idriss Déby, le sous-lieutenant Djibrine Tidjani Abbas est également radié de l’armée pour faute grave.
Que cette manière impolie et caricaturale des individus qui pensent qu’ils sont au-dessus des lois s’arrêtent, tout comme ceux qui de manière quotidienne toisent le président de la République, comprennent que la pagaille et les anarchies sont terminées, et ne passent pas. Un chef de l’état, qu’il soit ton parent, ton frère, ton ami, Dieu l’a élévé à un rang supérieur, et partant de ça la comédie n’a pas sa place.
Si les réseaux sociaux de nos jours permettent à n’importe qui de se déguiser en une bouche puante et tailler la tête de celui qu’on ne veuille voir, il n’est point permis de piétiner les lois d’un pays. Le Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno n’est pas le tambourin d’une partie de cette gente, moins encore celui à qui chaque jour le mépris de ceux-là se distinguent au quotidien.
Au Tchad, il y’a 17 millions de Tchadiens estimés, pourquoi c’est toujours les mêmes qui cherchent à braver les lois du pays et sa justice ? Qu’est ce qui leur en donne le droit ? Pourquoi s’extasent-ils de cette manière ?
En vérité c’est l’impunité et l’absence de la main lourde de la justice qui laisse place à toute cette anarchie. Mais, les Tchadiens singuliérement le constatent, la 5e République est entrain de marquer ses pas, et petit à petit les bases d’une vraie justice est entrain de se construire et prendre sa place. Hier encore quelques menus frétins se gargarisent sur les réseaux sociaux pour invectiver le Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno dans un vernaculaire abject et nauséabond. Le langage employé dérive et encourage une insurréction. Les mêmes sprinteurs des combats militaires d’hier à l’est du Tchad pendant les moments des rébellions se pavoisent d’être aujourd’hui des mâles pour les 5 minutes au micro du téléphone exposant la bile. Être un homme dans la cuvette de la bravoure n’est pas fortuit, et croyez-en profondement qu’il y’a des moments où la recréation doit se terminer. Full stop…
Si parmi ces bandits aux pieds nicquelés continuent leurs pratiques de basses bésognes, une majorité des Tchadiens comprend bien leur manège et les attends. Qu’ils ne veuillent pas d’un homme hissé à la tête du pays, qu’ils comprennent que celui-çi est un chef de l’état, et qu’ils ne veuillent respecter les lois du pays, alors bien qu’ils sachent que l’exceptionnelle majorité des tchadiens leur marchera dessus à un moment ou un autre. Ceux-là même imbus de leurs bétises et leurs traitrises seront harpés un à un. L’impolitesse caractérisée et le comportement de voyou doivent s’estomper.
Depuis quand un officier supérieur de l’armée manque de respect à sa hiérarchie ? Si ces badeaux n’ont pas fait les vraies écoles militaires où la discipline est enseignée, qu’ils aillent récycler les fondements de leur savoir, et au demeurant comprendre que le Tchad appartient à tous les Tchadiens. La politique actuelle du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno va dans le sens de l’unité, l’égalité des chances, la justice sociale et le développement. Des mots qui sonnent très mal aux oreilles de certains qui pensent que le Tchad est un butin de guerre perpétuel.
Tous ceux qui prennent des positions radicalement au début et mercantilistes après, sont les mêmes qui pensent que leurs intérêts passent au devant de la république et ses habitants. Si un dénni leur est observé, alors ils vont sensibiliser sur les réseaux sociaux en des balivernes de cabarets. La présidence d’un pays est une institution, et les dépendances qui assoient les lois, l’ordre et la sécurité en sont aussi. Quiconque s’amuse à s’ériger dans le désordre sera anéanti qu’il le veuille ou pas. Le reste des Tchadiens dans leur ensemble regardent d’un oeil rempli de douleur ces manigances, et n’éprouveront aucune pitié envers ceux-là même qui créent le désordre et l’anarchie.
En 3 ans de gouvernance, ils sont les mêmes issue du même milieu et ayant pratiquement le même cordon ombelical qui posent ces actes. Mais qu’il soit dit, le poste d’un chef de l’état représente aux yeux de la nation une institution, et quiconque voudra l’insulter en des termes incorrects doit subir les sanctions qui en relévent. Le Tchad ne doit pas perpétuellement être bloqué aux humeurs des individus proactifs et insalubres de comportements. Cette kermesse là doit se terminer au risque de terminer avec l’être béliqueux et impropre à la vie en société ou du vivre ensemble.
Tchadanthropus-tribune
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