Est tocard celui qui juge autrui sans savoir l’exactitude des faits.

Dans une de ses sorties, l’insipide Nathalie Yamb au Kardex long comme le bras, porte l’index sur le président élu du Tchad, en le traitant de TOCARD. Qui lui donne le droit de l’invective ? Naturellement, personne. Un simple brevet d’insolence caractérisée semblable à une éducation de rue.

Est-ce les hormones qui lui confèrent ces fantasmes ? Peut-être…

En vérité, dame Nathalie Yamb se trompe de cible, rien ne lui accorde le droit, ni même le panafricanisme et ses bribes dont elle en fait sa bible. Les hormones sont connues pour vous rendre étourdi et grincheux.

En proférant cet adjectif méprisant envers le président du Tchad, ce sont les Tchadiens dans leur ensemble qu’elle insulte, un peuple brave, résilient, et hospitalier, qui ne lui a rien demandé. Qu’elle s’occupe de ses activités nocturnes au Ghana, les seules qui lui donnent jusqu’à présent un semblant de rang, avant qu’elle ne soit cocufiée. Si le respect donne cet élan de retenue, qu’elle sache que chacun sait aller fouiller dans les poubelles de l’histoire.

 

La visite de Marine LEPEN au Tchad.

Marine LEPEN est une cheffe d’un parti politique en France, décriée par ses prises de position et les missions politiques qu’elle mène. Mais ce qui se passe en France ne concerne pas le Tchad, un pays souverain qui se lie d’amitié envers quiconque qui s’épanche de lui. Si Marine LEPEN s’est entichée du Tchad et veut garder des liens dans ce pays, cela ne regarde qu’elle. Et si encore en tant que parlementaire française elle vient au Tchad rencontrer l’exécutif tchadien, ceux à l’Assemblée nationale, et au Sénat, personne ne doit s’émouvoir de la politique tchadienne qui ne sert d’abord les intérêts du Tchad. Personne en son titre et rang dans la société n’a le droit d’indexer un président élu afin d’assouvir ses pulsions de canaille littéraire, de canaille tout court.

Le Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno est le président de la République du Tchad, un officier pétri de vision et d’amour pour son pays, un patriote qui n’a rien à faire avec une effigie morganatique. Il ne faut pas se couvrir du voile du panafricanisme et chercher à devenir une icône. Nathalie Yamb n’a ni l’étoffe, ni la carrure et moins le charisme. Elle doit savoir où est sa place et bomber sa poitrine avec ses visiteurs du soir. La « TOCARDE » c’est bien elle, mais aucun Tchadien.

Dans son Cameroun Natal existe un fossile, un mammouth installé au pouvoir depuis plus de 40 ans. Mr Paul Biya est une momie dés actualisés des affaires de son pays. Pourquoi Nathalie Yamb ne s’en occupe pas ? Rendons à César, ce qui est à César.

L’insécurité grandissante au Tchad et sur la capitale N’Djamena.

Pourquoi changer une vieille technique qui a marché depuis 25 ans ?

La maffia communautaire importée depuis le Soudan est bien huilée. Depuis longtemps, il est connu que certains services de l’état sont l’apanage ou la chasse gardée de certaines personnes, d’un clan qui pensent avoir le droit singulier de faire ce qui leur convient. Si par malheur quelqu’un d’autre qu’eux est nommé dans un ministère ciblé, ils s’organisent en meute pour créer une psychose jusqu’à ce que ce ministre soit remercié, sauf si cette personne émane de leur clan l’accalmie est observée. C’est le cas du ministère de la Sécurité.

Depuis bientôt plusieurs semaines, une meute de loups s’agglutinent sur les réseaux sociaux pour peindre le ministre de la Sécurité Ali Ahamat Akhabach d’incapable. Pourtant il suffit juste de voir la forme et l’organigramme de ce ministère rempli des officiers et sous-officiers qui restent les armes au pied cherchant l’échec de ce ministre pour la simple raison qu’il n’est pas de leur clan. Cette méthode inspire beaucoup de maffias, s’érigeant en groupe d’influence, chantant et mentant sur leur cible jusqu’à sa mise en congé. Ali Ahamat Akhabach est victime collatérale de ces individus. Dieu est le seul maître des agendas.

La déstabilisation de l’état, les ennemis de l’intérieur.

Voilà les hypocrisies constatées. Ils se disent parents, amis, proches, avec un sourire ravageur, mais un cœur tueur. Une caricature imagée qui reflète exactement la situation de ce qui sévit dans le pays.

Nous l’avons dit depuis quelque temps que le Maréchal président Mahamat Idriss Déby Itno est une chance pour cette nation, pour le Tchad et son devenir, et qu’il ne faille pas jouer avec le feu qui risquerait de nous brûler tous. Personne de nos jours aimant fortement ce pays, ne peut aller à sa déstabilisation, dès alors ceux qui cherchent l’épicentre des luttes ne comprendront plus jamais les conséquences de ce qu’arrivera s’ils s’avèrent passer à l’acte.

Entre ceux qui pensent que le pouvoir leur appartient ad item aeternam, et ceux qui déraisonnent complètement parce qu’ils ne sont pas associés aux affaires, la corde va être raide.

Mahamat Idriss Déby Itno est l’homme que les Tchadiens ont élu à présider le Tchad pour les 5 prochaines années, celui qui veut demain concourir qu’il attende son tour, mais les Tchadiens dans leur ensemble ne voudront plus continuer avec un arriviste pédant. Les accords de Doha avec les politico-militaires, le dialogue national inclusif, le référendum national, les élections présidentielles, législatives, sénatoriales. Tout a été fait pour retrouver les fondements de l’état, et personne, aucun tchadien ne voudra jeter ces acquis.

Ceux qui pensent être intouchables et ceux qui manipulent les travées. Entre les pédants et les traîtres de la 5e colonne, les Tchadiens vous connaissent tous et ne vous laisseront pas faire n’importe quoi.

Tchadanthropus-tribune

1637 Vues

Il n'y a pas encore de commentaire pour cet article
Vous devez vous connectez pour pouvoir ajouter un commentaire