Sexe, journalisme et procès. Des psychopathes humiliés après être passés par tous les moyens pour atteindre la crédibilité de Salam Info sans succès. Deux psychopathes ont décidé d’entamer l’honneur du promoteur que je suis en publiant sur internet une communication sonore entre un homme et une femme.

 

Ma part de vérité.

 

Il s’agit de Moussaye Avenir de la Tchiré, Directeur de publication du journal Abba Garde et Alladoum Djarma Balthazar, un apprenti politicien qui ergote au Cadre national du Dialogue politique (CNDP), deux psychopathes qui veulent obtenir ma tête à tout prix. Dans cette communication montée de toutes pièces, mais de façon ingénieuse, on entend une voix qui ressemble à la mienne communiquer avec une femme supposée être l’épouse de mon ex-collaborateur, Eric Ngarlem Toldé. Cela a suscité des émotions diverses chez les internautes. Chose normale. En tant que responsable du journal Salam Info, j’ai décidé de suspendre Eric Ngarlem Toldé pour des raisons que je n’ai pas à évoquer ici. Quoi de plus normal que de veiller à la bonne marche de mon entreprise ?

 

Bizarre.

 

Avenir a trouvé l’occasion toute belle et l’a saisie pour non seulement m’atteindre, mais également humilier le jeune Éric et sa femme en postant par personne interposée cette communication dont lui seul connait le secret. En effet, Moussaye Avenir de la Tchiré qui n’a pas déjà réussi à faire fermer Salam Info a trompé la vigilance de mon ancien collaborateur pour monter ce coup. Malheureusement après son forfait, le monstre de la presse tchadienne, pour calmer la furie du jeune Éric, avait fait comprendre à ce dernier qu’en réalité, c’est moi qui avait fait publier cette ordure. Peine perdue, il n’a pas convaincu grand monde. Ce truand bon teint dont la spécialité est le chantage pour s’enrichir a mélangé les pédales. Comme pour s’assurer de me salir, Avenir de Abba garde a encore monté un autre coup avec son complice Balthazar en m’accusant d’avoir fait les avances à la femme de ce margoulin surnommé le tonneau vide. Cet abruti, victime de son ignorance est allé porter plainte contre moi au Sultanat de N’Djamena urbain et rural. J’ai effectivement répondu à la convocation pour dire ma part de vérité.

 

En manque d’arguments, Alladoum Djarma Balthazar a été bien humilié par l’assistance. Sa femme qu’il a manipulée pour venir témoigner faussement contre moi continue encore à essuyer ses larmes parce qu’elle a été rattrapée par son mensonge grossier. Le comportement de Balthazar dont la psychopathie n’est plus à démontrer est la résultante de ses carences intellectuelles. Pour ce « tonneau vide qui sème la zizanie », Avenir est un dieu. Nous y reviendrons plus amplement dans nos prochaines parutions.

 

Mon passé à Abba Garde, je serais comparable au maître chanteur Avenir si je ne reconnais pas que j’ai pris mon envol dans la presse à partir de son journal. Quatre ans durant, j’ai donné le meilleur de moi-même pour faire grandir le journal Abba Garde, mais aussi pour me faire connaître dans le monde de la presse tchadienne. Cela fait-il de moi un esclave éternel d’Avenir ? Non. Malheureusement, l’homme n’accepte pas le fait que je prenne ma liberté pour disposer de moi-même. Alors que Avenir avait fui le pays 2015 et que le journal était fermé, j’ai décidé de lutter jusqu’à ce que le journal soit rouvert. Je n’ai pas failli. Aujourd’hui, il me le paie en monnaie de singe. Pas grave, c’est Dieu qui est fort. Avenir, sa femme et le monde de la presse, Moussaye Avenir de la Tchiré qui crie aujourd’hui sur tous les toits que je suis un mordu du sexe serait-il devenu paranoïaque ? En tout cas, sans prétendre être un psychiatre, les signes qu’il présente sont très inquiétants. Pour rappel, la femme avec laquelle il vit actuellement, Avenir l’a arrachée des mains d’un paisible citoyen alors qu’elle avait entre ses mains un bébé d’à peine trois mois. Avec cette dernière, le monstre de la presse privée enchainerait les combines pour déstabiliser journalistes et hommes politiques. C’est ainsi qu’il l’avait envoyée envers Goual Nanassoum, promoteur du journal Le Citoyen pour le piéger. Très fin, M. Goual a échappé à cette machination sur laquelle nous reviendrons plus amplement. Je n’ai rien contre Avenir, mais j’ai l’intime conviction de servir la vérité en dévoilant un pan du comportement de ce dernier dont le nom est étroitement associé au chantage, aux renseignements et autres coups fourrés. J’ai décidé de sortir de mon silence et rendre témoignage pour aider le peuple tchadien. À partir d’aujourd’hui, j’ai décidé de révéler le vrai visage de cet homme qui n’a rien de commun avec le genre humain si ce n’est pas la forme humaine dont il a été revêtu.

Martin Inoua Doulguet, Directeur du journal Salam Info et ancien Rédacteur en chef du journal Abba Garde

 

Tchadanthropus-tribune

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