Les Détails de la brusque descente à l’hôpital général d’Idriss Déby la semaine dernière semble être du déjà-vu. A maintes reprises Déby fait cette communication comme pour dire “ regarder je fais le constat du mauvais travail que les autres font “, mais en réalité le seul responsable de tout ce désordre dans le travail au Tchad s’appelle Idriss Déby Itno, par ses méthodes, ses démarches et le manque d’amour et vision pour notre pays.

Pendant sa visite, Déby fait semblant d’être sous le choc après sa fameuse descente en pleine nuit dans un hôpital de la capitale

De sources concordantes, Idriss Déby a effectué vendredi nuit vers 21 heures, une descente inopinée aux services des urgences de l’hôpital général de référence nationale. Il aurait constaté la mauvaise prise en charge des blessés admis aux urgences et le mauvais comportement social du personnel soignant. D’après une correspondance, « Les hommes en blouse blanche qui semblent rêver, mais ils se rendront très vite à l’évidence. Ils ont en face d’eux Idriss Déby hymself. Trop tard pour plusieurs d’entre-eux.

Il est difficile pour eux de cacher la réalité. Cette réalité macabre dans la prise en charge des malades admis aux urgences. Déby qui a eu la puce à l’oreille, par les détracteurs du ministre Aziz Mahamat Saleh, a décidé de venir voir lui-même la face cachée de cette structure, dont les services sont décriés par la population », indique la Présidence.

A la réception de l’hôpital, Déby a posé des questions sur le nombre des malades admis en urgence et l’a constaté dans le registre. Idriss Déby s’est ensuite rendu au service de petite chirurgie où « il a failli reculer, tellement, l’odeur est nauséabonde et irrespirable ». On lui propose un cache-nez, le chef de l’État refuse.

Le constat est indescriptible, les malades sont couchés à même le sol. « Vous n’avez pas des lits dans ce pavillon d’urgence ? », interroge le président de la République. On lui répondra par un silence de cimetière, tellement l’évidence explique tout.

Le président s’arrête devant un malade. « Qu’est-ce qu’il a ? », demande-t-il.

Réponse : « C’est un malade mental qui a reçu une balle ». « La balle est-elle extraite ? Est-ce qu’on a fait la radio ? », insiste Idriss Déby. C’est la cacophonie dans la réponse. « On attend le résultat de la radio », rétorque l’un, « le chirurgien est au bloc renchérit », l’autre.

Les médecins de garde du jour n’étaient pas à leur poste. Idriss Déby a trouvé sur place cette nuit, deux médecins stagiaires en spécialisation, le Dr Aboulkassim Oumar et Dr Brahim Ibet.

Alertés par leurs subalternes, ces derniers qui se reposaient chez eux, accourent pour rejoindre leurs postes 30 minutes plus tard, mais la sécurité les stoppe net à la porte d’entrée.

La salle d’hospitalisation a constitué la 3ème étape de cette visite. Idriss Déby a échangé avec quelques malades sur leurs conditions de prise en charge.

A la pharmacie, dernière étape de cette visite inopinée. Dans cette officine, les médicaments sont entreposés à même le sol et pêle-mêle. « Vous êtes désordonnés ici, mettez un peu de l’ordre », sermonne Déby, très conscient du désordre général qu’il a lui-même instauré dans notre pays.

« Les malades payent-ils les médicaments, avez-vous suffisamment du sang puisqu’on est aux urgences ? », demande Idriss Déby. « Non, sauf les médicaments qu’on n’a pas en stock, on prescrit les ordonnances. S’agissant du sang, la banque de sang nous fournit s’il n’y a pas de rupture », éclaire le médecin.

La visite d’inspection de l’hôpital aura durée 40 minutes, avant que le chef de l’État ne reparte au Palais présidentiel.

Au cours de sa descente, le chef de l’État était accompagné uniquement de son directeur de Protocole. Aucun proche collaborateur, aucun ministre, moins encore le directeur général de l’hôpital général de référence nationale, n’ont été informés de cette descente inopinée, précise le service de communication du Palais présidentiel

Il faut dire que ce n’est pas la 1ère fois que Déby fait ces genres de scénario, sans aucune suivi ensuite. Des sorties assez souvent faites pour la consommation. Mais plus aucun tchadien ne croit. 30 ans bientôt ça suffit, même si c’est lui le chef des prêtres vaudous.

Tchadanthropus-tribune

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  • Voici la preuve tangible que Déby ne travaille pas.
    Donc quand il ne voyage pas, il se promène à N’Djaména pour se faire de la publicité.
    Que son employeur la France Sataniste arrête de se moquer d’elle-même.
    La preuve qu’il existe bel et bien un Dieu Unique, est le réveil (tardif ?) du Peuple Français Frère, à travers ses glorieux Gilets Jaunes et l’Humoriste-Intellectuel-Activiste Dieudonné.

    Commentaire par Idem le 13 août 2019 à 9 h 03 min
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