#TCHAD #UNDR - #UJR : Le président national de l’UJR MIARIM DILLAH Evariste est recherché, menacé et vit une situation d’insécurité inquiétante.

13 février 2018 #TCHAD #UNDR – #UJR : Le président national de l’UJR MIARIM DILLAH Evariste est recherché, menacé et vit une situation d’insécurité inquiétante.

Union Nationale pour le Développement et le Renouveau

U.N.D.R

Paix – Discipline – Travail

Union des Jeunes pour le Renouveau

U.J.R

Communiqué de presse N°006/UNDR/UJR/2018

Le bureau national de l’Union des Jeunes pour le Renouveau (UJR/UNDR) informe l’opinion nationale et internationale que, depuis plusieurs jours, le président national de l’UJR MIARIM DILLAH Evariste est recherché, menacé et vit une situation d’insécurité inquiétante.

En effet, depuis l’organisation de la marche pacifique du jeudi 08 février dernier par le collectif des organisations de la société civile, le président national de l’UJR est traqué par des individus inconnus se disant de la force de l’ordre, et son domicile régulièrement accosté par des véhicules de la Police, ce qui ne donne aucun doute sur la source de cette menace, vu la situation calamiteuse des libertés et de la démocratie qui gangrène les tchadiens à ces jours.

L’UJR tient pour seul responsable le Gouvernement tchadien, qui a le devoir selon la Constitution de garantir sans discrimination aucune, la sécurité à tout citoyen pour son droit à l’expression, à la manifestation pacifique et à l’exercice d’activités politiques, de tout ce qui adviendrait à son président national; l’UJR se réserve le droit de mener dans l’immédiat toute action nécessaire, si monsieur Miarim Dillah Evariste continue d’être pourchassé et menacé.

Par ailleurs, l’Union des Jeunes pour le Renouveau invite tous les jeunes de l’UNDR, les partis politiques de l’Opposition démocratique, la société civile et l’ensemble de la jeunesse tchadienne sur toute l’étendue du territoire national et de la diaspora, à demeurer vigilants, solidaires, actifs et prêts à répondre à d’autres appels plus conséquents afin de faire cesser les intimidations et menaces, devenues monnaies courantes à l’égard des défenseurs des droits humains, journalistes et leaders politiques.

Fait à N’Djamena, le 13 février 2018