De source concordante, un problème d’héritage pose un sérieux imbroglio deux ans après que le conseil Islamique, la cour de Justice en 1re instance à N’Djamena et la Cour suprême, ont tous suivi le jugement fait par le conseil Islamique de N’Djamena, en désignant une personne en son sein qui a juré sur le Coran.

Deux ans après que le partage des biens fut fait, un des frères, le nommé Brahim décide d’aller voir le juge Hamit Mustapha Nour qui ré ouvre le dossier et demande qu’on revienne sur les jugements déjà entérinés.

La semaine dernière, sur ordonnance la justice tchadienne aurait eu un penchant pour le nommé Brahim dans l’affaire exposée.

Mais, si la justice tchadienne n’est pas corrompue, est-ce qu’il faut revenir sur l’autorité de la chose jugée ?

À quoi joue le juge Hamit Mustapha Nour, en ré ouvrant le dossier ?

La justice tchadienne et ses travers.

Comme à l’exemple cité ci-haut, la justice tchadienne n’inspire point confiance, et les différentes revendications sur sa corruption posent de vrais problèmes de société.

Les Tchadiens dans leur majorité ne croient plus à la justice de leur pays à cause de ce genre de tergiversations qui font penser que l’appareil judiciaire est corrompu, les juges achetables et les magistrats arrosés.

Comme ceci, combien de nos compatriotes ont été lésés à cause des juges véreux ? (Lire les documents)

Tchadanthropus-tribune

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