Ce mardi 8 juillet 2025, un atelier de haut niveau s’est tenu à N’Djamena dans le cadre de la mise en œuvre du Système d’Information Policière du Tchad (SIPT), avec l’appui d’Interpol et le financement de l’Union européenne.

L’objectif poursuivi par cet atelier est de jeter les bases d’un cadre législatif cohérent et protecteur autour de l’usage des données biométriques, notamment celles issues du système AFIS criminel récemment installé.

Représentant le ministre de la Sécurité publique et de l’Immigration, le contrôleur général de Police Ismaël Mansour a souligné l’importance d’une législation rigoureuse pour encadrer l’utilisation de ces technologies, tout en veillant à préserver les libertés individuelles.

Il s’agit d’une avancée saluée par les autorités judiciaires et les experts présents, qui y voient une étape cruciale pour une sécurité moderne, efficace et respectueuse des droits humains.

Tchadanthropus-tribune

628 Vues

Il n'y a pas encore de commentaire pour cet article
Vous devez vous connectez pour pouvoir ajouter un commentaire