Pour une unième fois, je lance un appel pressant à la communauté internationale pour lui dire que la Belgique est en colère contre moi, et ce que je vis actuellement est un sérieux danger imminent pour ma vie. Pour faire un rappel succinct par rapport à mes démarches faites, je réitère que c’est depuis le 20 décembre 2011, que j’ai annoncé mon retour au bercail, précédé d’un message à l’ONU, du 19 octobre 2011, lui parlant des difficultés qui y sont liées par rapport à mon argent fraudé et détourné par les administrations norvégienne et belge. Après cela, j’ai engagé les démarches auprès des institutions de l’Etat belge, mais rien de concret n’a été fait, et cette même administration utilise les violences et les agressivités administratives pour me barrer la route et pour faire empêcher l’aboutissement du travail, et les faits sont les suivants :

-Depuis janvier 2012, et après la réunion avec la représentante du HCR, pour l’Europe de l’Ouest, Madame Pascale Moreau, l’ambassade du Tchad à Bruxelles m’a établi un laissez passer en remplacement de mon Titre de voyage, pour me permettre de voyager au pays, mais malheureusement ce voyage n’a pas eu lieu, parce que l’OIM, l’Agence Caritas belge et quelques fonctionnaires du HCR-Bruxelles et l’Office des Etrangers avec la complicité de l’ambassade du Tchad, n’ont organisé autre chose qu’une déportation qui est en violation de la convention de 1951 de l’ONU, en matière de retour au bercail d’un réfugié politique, ayant le statut et légalement réinstallé par l’ONU dans un de ses pays membres. Ce voyage était une déportation parce que l’Agence Caritas m’a exigé une signature avec interdiction de revenir en Belgique, pour une période de cinq(5) ans, et 250 euros qui me seraient remis à l’aéroport quand je serais prêt à monter dans l’avion, tout en refusant que je parle de mon argent. Ces institutions citées ci-dessus n’ont rien fait et ont traîné jusqu’à ce que la validité du laissez passer soit expirée, ça c’est un.

 

Pour la deuxième fois, j’ai écrit une lettre, le 04 juin 2012, à la ministre de l’Intérieur, madame Joëlle Milquet, appuyant les documents administratifs norvégiens et belges de mon argent. Après le travail, son cabinet m’a orienté vers le Secrétariat d’Etat à la politique de l’Asile, de l’Immigration et de l’Intégration sociale de Madame Maggie De Block, où je me suis rendu après lui avoir adressé un message. Ces deux(2) ministres ont confié le suivi de ce travail à leurs Conseillers, à savoir de l’Intérieur, Monsieur Verbauwhede Geert et du Secrétariat d’Etat, Madame Valérie Badrane. Le 03 août 2012, l’Office des Etrangers me convoque et me donne le laisser passer et me dit de quitter aussitôt, le 04 août 2012, sans aucun centime, ni un billet d’avion, et me dit que c’est moi qui veux voyager, et de l’autre côté, ces deux conseillers me menacent d’expulsion avec colère et injures. Entre temps, je n’ai trouvé aucune réponse à ma lettre à Madame Joëlle Milquet, ministre de l’Intérieur, ni la lettre que le Secrétariat d’Etat de Maggie DE BLOCK, m’a dit qu’elle me serait envoyée du ministère des Affaires Etrangères.
 

Dans tout ce qui se passe, depuis 2010 à 2012 actuellement, je n’ai eu aucun centime de la Belgique, mais c’est elle qui a pris tout mon argent, elle m’a poussé à la rue et je vis à la rue en ce moment, puisqu’elle menace les connaissances qui tentent de m’héberger; j’ai la tension artérielle qui reste constamment élevée et l’hôpital (Centre Hospitalier Universitaire) a refusé de me soigner parce l’Etat belge a refusé de payer les frais des premiers traitements de mon hospitalisation en mois d’avril 2012; la Belgique a placé ces agents secrets qui me suivent dans tous mes déplacements avec un certain comportement dangereux. A côté de cela, il faut aussi noter les manipulations de certaines Organisations de la société civile et certains individus des réseaux occultes de la Norvège et de la Belgique qui créent des diversions dans le but de déplacer le problème. Par exemple, ces réseaux occultes, ceux de la Norvège ont appelé ma famille et mes parents au Tchad pour leur annoncer la nouvelle de mon décès, alors que je suis là vivant. Pourquoi tout cela? N’ont-ils pas honte? Ou bien ne savent-ils pas que le monde regarde et voit tout cela?
 

Ce problème a été déjà traité par un bon nombres d’Etat membre de l’ONU, et c’est clair que tout ce qui se passe, est une force, et est en violation de la Convention de 1951 de l’ONU, des Accords européens et des lois de ces deux Etats à savoir la Norvège et la Belgique, et en plus les appels aux Etats comme les USA et l’Allemagne, les organisations internationale et continentales comme l’ONU, le Conseil de l’Europe, l’Union européenne et l’Union, africaine, et aussi des ONG et organisation de défense de droit de l’Homme, donc par respect de ces organisations citées ci-dessus, ces Etats doivent montrer leur engagement envers la Convention, mais s’ils refusent toujours de me payer, je demande au nom de la Convention à l’ONU de me payer mon argent, et elle saura comment par tous les moyens récupérer son argent. Le montant de mon argent, se trouvant dans les documents remis à l’ambassade du Tchad (Conseiller Economique, Naougoum Dotomal et le premier Secrétaire, Bakhit Mahamat Saleh)  et le ministère de l’Intérieur, (Madame  Joëlle Milquet, ministre) est de 5.830.927 kr, soit 832.989.57 euros, sans compter les 2.000.000 kr, soit 250.000 euros déjà payés pour les trois (3) années mises en Belgique.

 

Fait à Bruxelles en Belgique, le 27 août 2012 
 

Jacques Kossadoum-Naodinane
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