20 novembre 2020 #TCHAD #Centre d’instruction de Moussoro : Le énième assassinat de l’adjudant-chef Hassan Nassour.
Toujours les mêmes qui posent des actes illicites et qui sont rarement punis et couverts par leurs parents bafouant tous les lois de la République. Et quand il faudrait citer cela, nous sommes tous taxés de haineux, la nouvelle trouvaille d’une gent qui fait tout pour que le vivre ensemble soit difficile.
Encore un crime au centre d’instruction de Moussoro.
En effet, Avant hier aux environs de 20 heures, l’adjudant-chef Hassan Nassour Minimi a ouvert le feu sur ses deux supérieurs hiérarchiques. Il s’agit de Mahamat Djiddi qui a reçu six balles, mort sur le coup, tandis que le Lieutenant Adam Moussa Abdramane grièvement blessé a été transféré à l’hôpital moderne de N’Djamena.
Pourquoi encore des vies sont prises aux familles, femmes et enfants ?
L’assassin, le nommé Hassan Nassour Minimi est le neveu d’un certain Abakar ÉGA, chef DRM de PSI. D’après les sources, il n’est pas à son premier forfait. L’année dernière, il aurait tué un militaire à Wour, en volant son argent. De cet assassinat à Wour, il n’a jamais été inquiété, pourtant les actes posés sont très graves. Au lieu de l’arrêter, cette personne a été mutée ailleurs, jouissant de toute sa liberté. Une forme d’injustice qui attise des frustrations entre compatriotes. Qu’on n’aille pas expliquer que cela doit être admis par pertes et profits. Dans un pays de droits, ces genres d’individus finissent en prison en prenant une perpétuité.
Voilà encore, comment la discrimination se passe au sein de l’armée. Les autres tchadiens n’ont pas les mêmes avantages de protection ni de secours. Ils sont vilipendés et trainés devant cette justice aux ordres, sinon abattus comme un chien même en étant entre les mains de cette justice.