Abderamane Adoum Hassan, l’une des tumeurs cancéreuses de La COTONTCHADSN détectée maligne est entrain de fuir les inspecteurs d’Etat. Avec une allure d’un semi analphabète à la réputation d’un fourbe d’une perfidie inclassable, Abderamane Adoum a su se défaire de tous ses supérieurs et se hisser à la Tête de la Direction Commerciale et Marketing (DCM) et peu importe le prix, que ce soit des coups bas ou des sacrifices des innocents se trouvant sur son chemin. Comme tout filou de son calibre, il a d’abord commencé par Ibrahim Malloum qui fût entre temps le DCM basé à Paris. Mais n’ayant pas les qualificatifs nécessaires pour un DCM, il s’est vu doubler par un Mossé Tormbaye, un véritable polyglotte et compétent de la boîte.

 

Des années passées, Abderamane Adoum s’est vu promu DCMA, il eût usé de toutes les ruses pour convaincre d’abord son titulaire et ensuite la Direction Générale de ramener la DCM de Paris à Moundou. Son titulaire, n’ayant pas constaté l’anguille cachée sous roche, l’eût naïvement aidé à cet effet. Quelque temps plus tard, il creusa une fosse fatale à son titulaire et le précipita dedans. Depuis lors, Abderamane Adoum fût devenu le maître absolu d’une direction qui est devenue à son tour sa chose gardée dont tout est centralisé sur lui-même.

 

Vu la complexité du mécanisme des ventes de la fibre à l’exportation, une gestion opaque fût installée et personne n’eut et n’a la moindre détaillante information sur la fibre  vendue à l’étranger. Ainsi, le coton classé sous l’appellation « Kara », « Bally »… S’est vu rajouté d’autres codifications dont seul le DCM connaît le fond des critères. Du coup, l’on pouvait maîtriser les quantités placées sur le marché international mais pas la qualité.

 

Abderamane Adoum en a profité pour amasser des milliards de nos Francs. Conscient de l’expression qui dit deux jours pour le voleur et un jour pour le propriétaire, Abderamane Adoum vit dans une peur bleue depuis le passage du Jeune PDG Ibni, qui, ayant remarqué l’opacité dans la gestion de la vente fibre et la rétention d’informations récurrente du DCM en la matière, ce dernier a compris qu’il finira un jour ou l’autre au gnouf en cas d’audit externe, car son masque est à moitié tombé.

Cerise sur gâteau, l’inspection Générale d’Etat a annoncé sa décente au cours des jours à venir pour auditer les activités de la DCM portant sur les 5 dernières campagnes.

 

Comme toute personne en noyade cherchant désespérément à s’agripper sur n’importe quoi à sa portée, une dernière tentative de fourberie dont celle de vouloir muter tous ses anciens collaborateurs jugés très encombrants à son égard, s’est vue heurter au rejet sec  à la signature par le PDG jugeant le motif peu convaincant voire relevant de l’acharnement.  Abderamane Adoum, ayant senti que le bateau est entrain de couler et aussi constatant que tous ses collaborateurs sont retournés contre lui, un tel audit mettra au grand jour toutes ses malversations. Au début de la deuxième semaine du mois de Novembre, étant officiellement au repos, il est parti en catimini à Douala au bureau de BOLLORE pour pouvoir faire le ménage car s’il existe des coins par où commencer pour auditer, ça sera bien BOLLORE dans le sens que c’est l’entité qui s’occupe du transport de la fibre vendue à l’exportation.

 

C’est ainsi qu’à la surprise de tout le monde, Abderamane Adoum négocia son départ avec son pantin de Directeur Administratif et des Ressources Humaines (DARH), Nodjitoloum Béral. Il convient de rappeler que M. Béral a une dette morale envers Abderamane Adoum dont celui-ci usant de sa proximité et accointance avec le PDG Masri  l’eut aidé à regagner la DARH au lendemain de sa prise de service. Abdraman Adoum a pris le large et son pantin Béral lui a ouvert une porte de sortie en or, avec tous les avantages dont en principe seuls ceux qui partent à la retraite devraient en bénéficier.

 

Par ce présent, nous attirons l’attention de l’inspection Générale d’Etat d’empêcher ce criminel économique doté d’une double nationalité (française et tchadienne) de regagner la France sans au préalable de rendre compte de ses actes malpropres.

Joseph Namou

Moundou Tchad

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