Avant même qu’Doha, un accord ne puisse être trouvé, le problème de la parité de gouvernement et autre entité de l’opposition commence par se poser.

Il faut être claire là-dessus, le problème de parité doit être résolu de manière équitable entre le gouvernement de la transition et ses alliés, et les autres composantes de l’opposition démocratique, société civile, politico-militaire, et diaspora. Il faut que le nombre dans la salle soit équitable pour ne léser aucune entité.

Le régime du MPS et ses relents du CMT sont connus pour le bourrage en nombre de toute assise pour faire passer leurs résolutions en force, soit par voie de vote à bulletin secret, ou des votes à main levée.

Ces méthodes doivent disparaître pour ne pas favoriser une partie et laisser le jeu démocratique se définir naturellement.

L’opposition politico-militaire, la société civile, l’opposition démocratique et la diaspora, devront tous porter un avis particulier sur ce cas, car sinon, le régime risquerait de submerger la salle avec ses partisans et engloutir toutes les revendications pérennes des forces vives.

Dès à présent il faut poser le problème de la parité, avant que le CODNI ne définisse les règles. Ni Acheikh Ibn Oumar, ni la primature ne doivent tout seuls imposer les quotas

Tchadanthropus-tribune.

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