Comme dans son édition précédente, Tchadanthropus-tribune interpelle la justice tchadienne à faire sévir la loi, dans l’histoire d’une jeune dame qui a été violentée et brutalisée par des soldats de l’armée tchadienne.

La victime est clairement identifiée. Achta Abakar, 28 ans, affirme être la femme qui est dans cette vidéo. Ménagère et femme d’un militaire, elle affirme dans cette interrogation en ligne qu’elle a subi des avances d’un responsable militaire et qu’elle a refusé ces avances. Elle a été accusée injustement de vente de Tramol (Drogue et produit illicite) par ledit responsable militaire, et il a ordonné avec ses soldats de la fouetter avec des cordelettes. Cette scène selon elle se serait passée dans un village appelé Tchoukou Teila dans le Lac-Tchad. Pire, elle affirme que ce n’est pas la 1re fois que cette bavure s’est produite. “ Ils m’ont frappé plusieurs fois, avec plusieurs femmes “ affirme-t-elle.

La justice si elle en existe dans ce pays de passe-droit doit sévir. Que les responsables de ces actes clairement identifiés, puisse qu’elle les nomme clairement, soient punis selon les lois. Une femme, aussi vulnérable ne devrait pas être brutalisée de cette manière. Le droit de l’homme ne pas aussi différent de celui de la femme, et cela à tous les étages. Que justice soit rendue.

De la même manière, les organisations de droit de l’homme ne doivent pas laisser passer des tels actes, au risque de récidive grave. Ce n’est pas la 1re fois que des soldats bravent la loi. Il y a eu des actes abjects envers des élèves autrefois, et les actes illicites sont légion au Tchad, car le droit de l’homme n’est pas respecté.

Tchadanthropus-tribune

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