Les maux qui minent l’enseignement supérieur et l’éducation nationale sont nombreux. L’État doit prendre ses responsabilités afin d’assurer la bonne fonctionnalité des salaires et indemnités des enseignants. Notre pays ne peut continuer à négliger les aspects importants du secteur éducatif, car les conditions seront fâcheuses pour les générations futures déjà handicapées au facteur niveau d’études. Le Tchad de demain, la relève de demain c’est d’abord cette jeunesse bien éduquée, et bien orientée.

Le secrétaire général provincial du Syndicat des enseignants du Tchad (SET), Mbayana Laoukoura, a indiqué mardi, au cours d’un point de presse, que le versement total des primes de transport de 2016 à 2019 est une exigence pour la reprise scolaire 2020-2021. Les Syndicats des enseignants réclament également la levée du gel financier des avancements et des reclassements à partir du 1er janvier 2020.

Mbayana Laoukoura demande au gouvernement de tenir ses engagements, notamment quant aux accords signés avec la plateforme syndicale revendicative.

La rentrée des classes est prévue pour le 1er octobre 2020.

Tchadanthropus-tribune

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