De sources dignes de foi, un lobby autour d’Idriss Déby à la présidence tente de l’induire en erreur. Il n’y a pas longtemps, une agence nationale des titres sécurisés (ANATS) vit le jour le 26 mars 2016 à N’Djamena. Cet établissement public créé par une ordonnance a pour vocation de centraliser les documents de l’État tchadien jusqu’alors sous le joug d’une société clientéliste. Dans l’élan de cette organisation étatique, l’Etat a signé un contrat avec 2 sociétés françaises cotées en bourses, SAFRAN et SELP sont spécialisés dans le domaine des titres sécurisés pour mettre en place un système intégré de gestion des populations et des titres sécurisés. L’aspect du problème est ressenti comme un handicap sécuritaire par les partenaires du Tchad.

 

Pour faire un parallèle, nous risquons d’avoir le même exemple que ce qui s’est passé avec Glencore. Dans le cas de SAFRAN et SELP, le contrat fut octroyé et le financement décaissé à hauteur de plus de 10 milliards de FCFA. Le marché et les contrats sont tellement sécurisés que les chaines d’entrainement avaient accompagné les parties contractantes pour aboutir à un résultat capable de convaincre les partenaires américains sur la biométrie de nos documents, et surtout la gestion de nos populations tellement brassée et métissée. Les travaux très avancés par SAFRAN et SELP assoient un résultat probant – dans deux mois – les premiers passeports seront livrés. Au grand maximum fin juin 2018.

 

  • Est-ce que le Tchad, comme à l’exemple de la gestion avec Glencore, est prêt cette fois encore à perdre de l’argent ? (20 milliards de FCFA), alors que les avances sur travaux ont été déjà octroyées à hauteur de plus que 10 milliards de FCFA à ces sociétés françaises.

 

C’est pratiquement au milieu des travaux qu’un lobby au palais rose tente d’induire Idriss Déby en erreur. Ce lobby utiliserait Mr Jean Bernard Padaré (Feu de brousse) comme tête de pont pour marcher jusqu’à Idriss Déby. La société belge (ZETES) connut des faits illicites vers les régions des 3 lacs, serait invitée en date du 22 mars 2018 à N’Djamena par le secrétariat général de la présidence, sur instruction du président de la République, selon le libellé de la lettre adressé à ladite société belge.

 

Les démarcheurs du marché qui sont identifiés sont un Congolais répondant au nom de Papy Kibongo, et son larbin tchadien Jean Baptiste Boyanga. Ce dernier fut un ex-conseiller au ministère du plan au Tchad. Pourquoi veut-on souvent pousser Idriss Déby à prendre des décisions illicites à l’encontre du peuple tchadien ? Pourquoi ces lobbys qui entourent le pouvoir n’aiment-ils pas le Tchad jusqu’à lui faire assez souvent perdre des sommes colossales ?

 

SAFRAN et SELP sont des entreprises françaises. En ce sens que le Quai d’Orsay (Ministère des Affaires étrangères français) aurait câblé l’Ambassade de France au Tchad pour information et observation. Une cellule d’observation au Quai d’Orsay sous la conduite d’Emmanuel LECOS est chargée de mettre en place une contre-offensive au cas où une des parties contractantes chercherait à mettre en mal les termes desdits contrats.

 

Pour rappel, la société SOGECT/TCHAD dirigée par Mr Abderaman Bedey, un neveu d’Idriss Déby avait reçu par le passé le même type de contrat de concession des titres sur les documents d’identité. Le tel exemple n’a servi qu’à enrichir des individus, mais pas le Tchad et les Tchadiens dans leur ensemble. Est-ce qu’on voudrait en mentant à Idriss Déby, faire les mêmes bêtises, et les mêmes fautes ? À la décision d’Idriss Déby de faire reprendre pour l’État la boite à pandore gérée par SOGECT, toute la population tchadienne avait applaudi son président, mais qu’il ne se laisse pas entrainer dans une démarche moribonde qui ferait faire perdre tout un budget au Tchad, sinon finalement les mêmes choses se répètent, surtout qu’avec les mêmes hommes qui produisent les mêmes effets.

 

Conseillers ou entourage, ils sont nombreux qui induisent Idriss Déby dans l’erreur, faisant passer leurs intérêts propres au-dessus de ceux de la nation. Même le 1er ministre souvent critiqué avait botté en touche, exprimant que l’État ne peut se désengager de cette manière vis-à-vis des partenaires quand des contrats sont signés et que l’État a déjà engagé sa personne.

 

Le problème de notre pays réside sur l’épaule de ses citoyens les plus malhonnêtes. Il est surtout très difficile d’aimer son pays, et faire une symétrie entre ses propres avoirs et celui de l’ensemble de la nation. Pourtant, en se contentant de peu, chacun y trouverait son compte et bâtir notre pays valablement. Mais nous avons des ogres voraces qui ne se rassasient jamais. Sinon en plus de 29 ans de pouvoir, si nous avions une dose de sérieux, notre pays égalerait et dépasserait plusieurs pays en Afrique. Mais le sérieux, difficile galon pour les autres n’est pas donné à tous.

Un patriote, ce n’est pas celui qui claque, mais c’est sans doute celui qui clique.

 

Correspondance particulère depuis le Palais rose.

Tchadanthropus-tribune

 

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  • je suis une femme noire et camerounaise et à mon actif j »ai eu 1900 tentatives d »assasiants pourquoi je fais partir des femme Africains qui ont téléphoner àla cpi pour s »opposer, du transfert de mme GBAGBO LA bas et depuis je suis harcelé à pied en voiture en bus dans la rue ils ont inflitrés mes milieu associatif avec les agents camerounaise où camerounais pour, mon assassinats merci de relier cette pétition mon combat est imminent contre la mairie de nanterre seule contre tous Link deleted

    Commentaire par Nilsson le 13 avril 2018 à 1 h 55 min
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