D’après une correspondance envoyée à la rédaction, l’inspecteur de travail ne privilégie pas l’intégration des cadres nationaux, alors qu’avec les expatriés une approche très légère est exercée.

Le principe qui consiste à intégrer plus de cadres nationaux est abandonné pour une politique faisant place nette aux expatriés. Cette démarche met en avant des avantages pour Glencore aux dépens des compatriotes assez nombreux sur la place du chômage.

Les Tchadiens travaillant pour Glencore au Tchad sont brimés et licenciés dès qu’ils demandent une augmentation de salaire. Un expatrié de même titre ou moins que cela gagne pratiquement 10 fois ou 20 fois en salaire qu’un tchadien ayant les mêmes charges de travail.

Il faut que l’État exerce son droit à la souveraineté nationale en imposant les cadres nationaux et en défendant leurs acquis.

Tchadanthropus-tribune  

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