5 septembre 2017 #TCHAD #IGE : Nomination scandaleuse – copinage – clientélisme à l’inspection générale de l’État.
Un voleur ne peut rien contrôler. Tchadanthropus-tribune l’avait dit en son temps. Senoussi Mahamat Ali ne peut pas faire l’affaire, le siège est trop grand pour lui. Il a un passif très lourd depuis la BCC jusqu’à l’inspectorat aux Finances taillées sur pièce grâce à ses courses domestiques auprès du sieur ABBAS Mahamat Tolli qui lui a servi d’ascenseur au sein du MPS, qui est sa mamelle nourricière. Les faits sont têtus et l’histoire vous revient toujours comme un boomerang quand dans votre vie vous vous comportez de manière fourbe envers les autres. Dès sa nomination, la rédaction a mis un accent sur sa non-partialité concernant les malversations de sa belle-mère Mme Mariam Attahir, épouse Djimet Ibet, sur les détournements observés par ses prédécesseurs à la mairie de N’Djamena. La récidive est observée aujourd’hui à travers ces nominations scandaleuses, du pur copinage avec des individus ‘inspecteurs ‘qui ne remplissent pas les conditions posées par la loi. Pire, certains d’entre eux sont poursuivis pour détournement de deniers publics. Les cadres non intègres ont très tôt compris la politique d’Idriss Déby. Ils deviennent d’abord griots en s’affiliant à son parti (MPS), puis cherchent à se positionner dans les arcannes de l’État pour voler le peuple tchadien. Ils sont nombreux, se présentant sous leurs quatre pièces, faisant le sérieux, lunettes bien calées, vestes de revers, et chaussures bien cirées, occupant un poste à responsabilité en déca de leur diplôme et expériences, les voilà ces bandits qui ont vidé notre pays de sa dignité et de ses biens. Depuis 27 ans, le régime entretient les mêmes espèces d’énergumènes sans réussir à faire œuvre de grande salubrité pour l’essor de notre pays. Senoussi Mahamat Ali n’est qu’un paria rattrapé par la réalité. À force de chasser le naturel, il revient au grand galop… à suivre.
Tchadanthropus-tribune
Tchad: qui moralisera l’Inspection Générale d’Etat ?
Telle une boutade, l’institution ayant la charge du contrôle de tous les appareils étatiques, l’archi-puissante Inspection Générale d’Etat marche sur ses propres pieds en foulant au sol les règles de l’Administration tchadienne.
Les mots aux maux
Sans le risque de nous tromper, le décret N° 2069/PR/2017 portant création, attribution, composition et fonctionnement de l’inspection Générale d’Etat a été suivi d’un recrutement par voie de concours durant lequel certains inspecteurs ont été admis. Une dizaine parmi elle a été mise à la porte par le beau-frère de madame la maire de N’Djamena, le puissant Senoussi Mahamat Ali. Et cela sans que le motif leur soit indiqué.
Pis encore, le décret du 23 août portant le N° 1390/PR/2017 nommant une vingtaine des inspecteurs à l’inspection Générale d’Etat comporte tellement d’anomalies que certains pourraient qualifier de vice de fond et de forme.
Ce document a l’air d’un « prêt à signer » qui se prépare dans les salons des éminents généraux ou des intouchables et sulfureux groupes spécialistes des coups-bats qui foulent au sol les lois et règles de la République.
Suivez notre regard !
Dépourvu de l’armoirie, qui est l’emblème pour ne parler en termes de charte graphique, l’entête ne comporte que République du Tchad, la devise et Présidence de la République. Où est alors l’inspection Générale d’Etat ? de grâce, rajouter la prochaine fois l’Inspection Générale d’Etat en bas de la Présidence de la République. Un croquis vous est mis en ligne afin de relever vos tares.
En dépit de ce que certains qualifieraient comme nous l’avons dit ci-haut, de vice de forme et de fond, les fautes reviennent dans presque toutes lignes. Est-ce par le fait que vous êtes arabophones, non, la réponse est sans équivoque l’évidence. Sinon, le décret serait en deux langues comme la plupart. Le constat est que même l’Arabe où vous prétendiez défendre ne vous intéresse pas pour ce décret.
Source : anonyme
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Si ce qui est rapporté, ci-dessus, par Tchadanthropus-tribune est la vérité, il faut :
[Point 1] La révocation de tous les membres de l’Inspection Général de l’Etat ;
[Point 2] La création d’un organe à définir, composé des femmes des hommes d’une totale transparence – intégrité – honnêteté – loyauté, de compétences, de très haute moralité insoupçonnables et éprouvées, chargé d’étudier les différentes propositions des nominations à des postes de responsabilité. Par exemple des conseillers. Dans ce cas, il faut une totale refonte en profondeur de la structure existante. Le Chef de l’État doit se rappeler et/ou prendre connaissance de l’importance et du sens profond et noble de ce que c’est un CONSEILLER ;
[Point 3] Le Président de la République est bel et bien censé connaître la probité des candidats aux postes à pourvoir. Il est le premier responsable en chef de TOUT CE QUI SE PASSE AU TCHAD, aucune Tchadienne, aucun Tchadien n’a imposé au Chef la responsabilité de présider la Nation Tchadienne. Nous ne pensons pas qu’il ignore, au 21ème siècle cette responsabilité de rendre compte. En effet, il va rendre compte, comme chacune et chacun à son niveau de responsabilité, de sa responsabilité personnelle engagée sans équivoque à un jour terrible où il n’y a ni dérobade et ni échappatoire. Ce jour la justice est d’une parfaite équité, au Chef de l’État de méditer.
Le point 2 faciliterait sans doute la tâche du Président de la République. Cependant, il n’est pas du tout censé ne pas connaître la mortalité des gens qui gèrent la destiné du peuple Tchadien. Ainsi, celles et ceux qui proposent les candidats aux postes à pourvoir sont eux même nommés en rapport avec le point 2. Donc tout ou presque est à mettre en œuvre avec la plus grande attention et intérêt.
Le régime au pouvoir prend -il en considération ce qui est en rapport direct avec la gestion des affaires du peuple Tchadien ?
Si oui, entreprend-il des actions correctives, par l’apport gratuit et patriotique des informations en lignes ?
Les opinions, les critiques constructives, les mécontentements exprimés pour des exclusions, et les dénonciations objectives en lignes sont d’une importance capitale pour la bonne gouvernance politique au Tchad par :
1) La recherche d’informations pertinentes, en prenant en compte l’impact des actions des pouvoirs Exécutif, Législatif et Judiciaire,
2) L’évaluation de ces actions, l’identification des problèmes de gestion des biens du Peuple ;
3) L’identification de la mafia opérant sous couvert des Institutions de l’État ;
4) En citant nommément certains agents, souvent clairement identifiés, de cette mafia ;
5) La mise en évidence des graves crimes socio-économiques et politiques et manquements ;
6) En alertant le Président de la République, les femmes et hommes honnêtes aux différents niveaux des trois pouvoirs ;
7) Par des motivations qui s’inscrivent dans une perspective d’une totale transparence, d’intégrité- honnête, de loyauté, d’efficacité, d’une amélioration durable pour une bonne gouvernance dans un contexte d’une totale justice équitable, d’équité, de participation inclusive totale où les retombées sont : paix, sécurité et prospérité durable …