Tous les ans, les deux ans, les trois, les 4 ans, ils sont à Paris pour se plaindre de telle chose, pour expliquer telle chose, pour se prosterner en vue d’obtenir telle chose, pour se montrer petits et minables parce que reconnaissant par leurs déplacements réguliers et leurs que le pouvoir est à Paris et non entre les mains du peuple tchadien.            

 

Ces gueulards, ces soi-disant instruits et être intelligents, peuvent-ils relever le défi de nous dire quand est-ce que qu’un politique français est venu une fois au Tchad se plaindre des manquements intérieurs de la France? Et pourtant, il y en a.            

 

Ne prenez pas mes propos pour une tentative de camouflage des faits de Deby. Lui aussi est un autre faiblard, comme ses complices faiblards de l’opposition.           

 

Lorsqu’ils vont revenir de Paris, ils vont distiller subtilement que Paris est de leur coté et que cette fois-ci, c’est bon. Ils vont balayer Deby. Question de mobiliser les naïfs, de se donner quelques voix et d’augmenter leurs valeurs marchandes.            

 

En fait, et Deby et ses Yorongar, Kebzabo, Ngotté, Maki ne sont que des marchandises. Les vrais marchands sont à Paris.  Ils iront tous à Paris se ressourcer et renouveler leurs valeurs. Minables et tristes. Je n’ai aucun respect pour ces articles qui ne devraient pas être sur les rayons de ventes au Tchad.            

 

Ces opposants-là, même plus cancres que Deby viendra les dominer. Leurs coups de gueule? Ce n’est rien. Ce sont des roublards. Leurs vraies natures, ils sont faits pour servir, cautionner, être complices des choses d’arrières scène et gueuler en avant scène jusqu’à baver comme un animal traqué. Leurs seules seront les naïfs qui se livrent encore à leurs distractions. C’est vrai qu’entre l’ennui et ses opposants, au moins ces derniers brassent le vent, vendent le vent. C’est une action, mieux que l’inaction. 

 

Hamad Guera,

Le rebelle de la dignité et de la justice

hamad.guera@gmail.com 

 

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