Le collectif de 257 agents a fait un sit-in le jeudi 18 mars 2021, pour obliger la mairie de N’Djamena pour leur réhabilitation.

D’après nos sources, le responsable de la mairie a demandé de leur accorder une semaine afin qu’il s’exécute sur la décision de référée administratif du tribunal de grande instance de N’Djamena qui date du 25/11/2019 qui ordonne de les réintégrer, mais jusqu’à là les responsables de la mairie trainent les pas.

Il faut noter que le collectif de 257 agents abusivement licenciés par la mairie a fait un sit-in devant la mairie, mais la police nationale est intervenue pour les disperser avec des gaz lacrymogènes y compris ceux qui sont venus célébrer leur mariage à la mairie causant des dommages aux personnes présentes.

Le collectif de 257 agents injustement suspendus demande sa réhabilitation sur la base de l’ordonnance de référée administratif rendu par le tribunal de grande instance de N’Djamena.

L’État doit intervenir dans cette affaire pour faire entendre le droit.

Tchadanthropus-tribune

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