Toutes les dispositions ont presqu’été prises pour permettre à ce journaliste de sortir de prison pour se soigner. Ses avocats, le téméraire maitre Gouara appuyé par l’avocat français Emmanuel Ravanas ont dans leurs précédents plaidoyers ont démontré à la Cour le caractère illicite sur l’incarcération de ce jeune journaliste qui n’a eu de tort que l’exercice de son métier.

Depuis plus d’une semaine, de promesse de libération en report sans justification, ses détracteurs bien installés au sein de la justice continuent de tisser le filon démontrant de la sorte l’aspect corruptible de cette justice à géométrie variable. 

Si le ministère a profité pour mettre en liberté des criminels de droit commun sous l’auspice de l’appel de l’ONU à décongestionner les prisons. Il a profité pour inscrire sur la liste les noms de certains prisonniers proches de leurs amis et connaissances. Pourquoi ne pas permettre au nom de l’humanité à ce journaliste dont la santé est précaire, de sortir pour se soigner ?

Cette histoire démontre clairement que ceux qui ont permis à ce que Martin Inoua Doulguet soit emprisonner tiennent le cordon de la bourse sur des juges véreux, cupides et sans âmes.

Les politiques qui sont derrière cette affaire sont tous démasqués et n’entacheront jamais par leur haine le seuil de corruption, de clientélisme et de népotisme que ce journaliste a dénoncé. Il en sortira de cette prison un jour, aujourd’hui ou demain, il en sortira la tête haute.

Ce n’est ni les mafieux, ni les indics de l’ANS drapés sous la peau de journalisme, moins encore certains plombés de VIH et qui se cachent derrière une soi-disant justice qui auront la peau de ce journaliste.

Quelque soit la durée de la nuit, le soleil finit toujours par se lever.

Tchadanthropus-tribune

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