La main mise et le trafic d’influence du ministre de l’Administration du territoire et de la décentralisation Mahamat Bechir Cherif sur la justice tchadienne.

Depuis 2011, nous,les enfants du défunt Haroun gone neurone ne fessons que subir l’injustice sous toutes ses formes.

Notre défunt père ,hormis les autres biens, nous a laissé un terrain d’exploitation de 10 hectares dont les documents datent de 1984.

En effet, le ministre Mahamat Bechir Cherif a acheté ledit terrain avec la complicité de Boulama et le sous-préfet de la main des certains individus de loyauté douteuse en 2011 et a commencé de l’exploiter. Lors d’une visite, nous nous sommes rendu compte de la situation, et par conséquent nous lui avons fait savoir que ce terrain nous appartient et qu’il n’a pas le droit de l’exploiter.

Il nous a répondu avec assurance que ce terrain lui appartient et qu’il a acheté auprès du chef du village, et que si ledit terrain nous appartient réellement allons régler l’affaire à la justice. L’affaire est entre les mains de la justice depuis 2012 et notre dossier n’a été programmé par le tribunal que trois fois, et curieusement,les copies de nos documents joints au dossier ont disparu miraculeusement tout à coup.

Depuis lors le litige est stagne à la justice et Mahamat Bechir Cherif continue d’exploiter notre jardin aisément.

Nous avons plusieurs fois demandé l’arrêt des activités d’exploitation sur ce terrain à la justice, mais toujours en vain.

Fatigué de cette situation d’injustice insupportable, nous (les enfants du défunt Haroun gone) mettons en témoigne la population tchadienne, les organisations des droits de l’homme, les différents orgasmes de presses…

que face l’incapacité de la justice sur la décantation de cette affaire, nous n’avons d’autres solutions que de nous rendre sur le terrain pour réoccuper notre jardin par n’importe quel moyen.

Brahim Haroun Gonny

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