Ce dernier temps, le régime de N’Djamena a failli dévorer tous ses enfants et sans exception.

Deby a échappé avec justesse un coup d’État très dangereux à la mode « 16 mai 2004 », tout cela en complicité avec ses propres éléments de la sécurité intérieure à la présidence. Tantôt, les frères généraux Bahr ont été accusés à tord d’être les cerveaux de ce coup de force, tantôt toute la lignée Mahamat Itno est doigtée et victime d’effets collatéraux (emprisonnements, demis de leurs fonctions, tortures, manque de confiance, etc.)

Après multiples enquêtes et investigations, le coup d’État est l’œuvre d’un groupe des généraux zaghawa très influents dans l’actuel régime. Le cerveau des putschistes n’est autre que le général Abakar Abdelkerim Daoud (keringkeyno) l’actuel Cemga 2e adjoint en complicité avec les généraux suivants : général Taher Erda, DG/Gendarmerie, général Mahamat Saleh sibi sibi (sans fonction) et le nouveau général Abdou Idriss Onigué, DG/DGSSIE 1er adjoint.

Tous ces généraux précédemment cités sont tous des analphabètes notoires, mais selon leur stratégie, une fois le coup réussi ils feront appel aux frères jumeaux barbus (Erdimi). Dans la nuit du 28 au 29 juin 2012, une dernière réunion à huis clos et très clandestine entre les généraux  a eu lieu dans le domicile du général Mahamat Saleh sibi sibi.  À suivre

 

L’Observateur            

 

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