La liberté qui a en elle l’inutilité,

Ne donne de louables possibilités

Aux pauvres et aux faibles…

Un pays a besoin de dirigeants affables.

On pourrait être savant du savoir des autres.

La guerre pour la guerre n’est propre aux apôtres…

Hommes ! Ah ! Les hommes.

Personne ne souhaite être une bête de somme.

« C’est Dieu qui sonde les cœurs ».

Aimons-nous les uns les autres sans rancœur.

Cette richesse qu’est le savoir

Crée de grands en devoir.

Le devoir qu’est l’obligation morale

De dire est plus que « normal »

Car le pays est  à nous tous

Dans son intégrité sans un pouce.

A cela habitués, nous y avions toujours pensé…

Ensemble sans différence, nous avions mangé, bu et dansé.

Riches et pauvres, et fiers d’être pauvres,

Chacun est jugé selon ses œuvres…

Chaque communauté a ses propres habitudes.

De bon sens, les lois, même non écrites, ne sont pas vides.

La main dans la main, sont réglés les conflits.

Sans inquiétude, chaque société est appelée à garder son lit…

O ! Autres temps, autres mœurs.

Sous nos pieds, des fossés se creusent…

L’évolution insensée de la mort offense…

Les populations chassées de leur pays sont sans défense.

Des politiques de grands pays, les beaux discours pleuvent.

Il n’y a que le bas peuple qui ne rêve….

 

 

DINA ABDRAMAN

 

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