Je tiens à remercier la communauté internationale, les Ong et organisations des droits de l’Homme et à tous les sites pour leurs interventions, en agissant de manière urgente, pour me permettre de m’opposer au voyage organisé par l’OIM et l’Agence Caritas belge, le 23 octobre 2012, de Bruxelles-Addis Abeba-N’djaména: un voyage que j’ai qualifié de dangereux. Mes remerciements vont aussi particulièrement à la rédaction du « letchadanthropus.com » et également aux amis qui m’ont appelé ou écrit pour m’encourager et demander à savoir plus sur ce drame du voyage en question et sur les confusions et manipulations orchestrées de toutes pièces par l’administration belge et ses autorités, ainsi que certaines organisations de la société civile.

Pour donner une explication claire, sur ce que l’administration belge entend par « demandeur d’asile » me concernant, est l’une des confusions que cette administration a utilisée pour frauder et détourner mon argent, et a fait croire au monde que je suis un demandeur d’asile venant directement du Tchad, et c’est ce qui s’est passé dans le flash du « letchadanthropus.com», le 23 octobre dernier lors de son intervention par rapport au voyage organisé par ces deux organisations citées ci-dessus.

Je ne suis pas un demandeur d’asile. J’ai été réinstallé en Norvège à Bergen, en 2003, sous la Convention de 1951 de l’ONU, après la chute de l’ex-président centrafricain, le défunt Ange Félix Patassé. En mai 2010, j’ai fui les menaces de l’administration norvégienne pour être à Bruxelles, en Belgique, jusqu’à maintenant. J’ai introduit une demande de transfert de responsabilité à l’égard de mon statut de réfugié en Belgique dès mon arrivée en 2010. Précisons que le transfert de responsabilité se fait sur une période de 18 mois, selon les Accords des Etats membres du Conseil de l’Europe.

 
Il y avait eu plusieurs fois des rencontres et des conférences des Etats membres de l’ONU sur cette affaire. Et la Belgique avait donné son avis favorable pour ce transfert, alors que c’était juste dans le but, de prendre mon argent et dire non après, sans proposer une solution. Pourtant, son administration m’a déjà enregistré dans la commune de Saint-Gilles(Bruxelles), avec un numéro de série du compte à la Banque Dexia Belgique, démantelée aujourd’hui. Parlant de mon argent, cet argent n’est pas de la Belgique, la Belgique l’a simplement fraudé et détourné pour investir dans l’Ex-Banque Dexia Belgique (cf.mon article du 20 décembre 2011, sur « www.google.com, en cliquant sur mon nom et prénom » ou « letchantropus.com ».

Ce sont mes salaires, salaires au chômage, revenus annuels et ceux de mes activités libérales au sein d’une Ong norvégienne (lire mes écrits sur le www.google.com). Il y a lieu de signaler que certains de mes articles qui parlent de ces problèmes que je vis actuellement sont retirés du « www.google.com » ou d’autres sites sans mon autorisation, et cela est une violation des libertés d’expression et de presse, toutefois ceux ou celles qui veulent faire des recherches auprès de ces sites pour en savoir plus, peuvent le faire. En gros ce que je peux donner comme explications à ceux ou celles qui n’ont pas des informations claires sur l’affaire et pensent que c’est l’argent de la Belgique.

 
Concernant mon voyage au Tchad, la même administration belge et ses organisations de la société civile jouent toujours en organisant ces voyages ratés, pour gagner du temps, parce qu’elles ont investi cet argent. En plus, elles préfèrent que je tombe pour qu’elles en bénéficient, d’où les menaces de mort, le refus d’accès aux soins médicaux, la volonté de cette même administration de me mettre à la rue étant malade etc.
 
Et le 25 octobre, après ce voyage raté et dangereux que ces organisations de la société civile ont organisé, et comme les autorités belges refusent aussi de payer mon argent, j’ai fait un rappel à ma lettre du 11 septembre, à Son Excellence, Monsieur MXOLISI NKOSI, Ambassadeur d’Afrique du sud d’user son contact auprès de l’ambassade du Tchad pour qu’elle contacte le gouvernement tchadien, pour ce programme de retour, tout en demandant aux autorités belges de cesser de faire pression sur l’ambassade du Tchad, pour qu’elle m’apporte une aide, puisque je ne reçois rien d’elles. Et aussi que ces organisations de la société civile se retirent du programme en question et ne s’y mêlent pas. Supposons que vous soyez malade et vous n’arrivez pas à vous soigner, parce qu’on a pris tous vos biens sans aucune raison, on vous met à la rue pendant des années, on vous menace de mort, votre famille est abandonnée, quelle serait votre réaction ?
 

Fait le 01 novembre 2012,à Bruxelles en Belgique


Jacques Kossadoum-Naodinane

Tél :0032(0)499185856

 

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