Martin Inoua Doulguet convoqué par la HAMA.

Martin Inoua Doulguet suspendu pendant 3 mois.

Martin Inoua Doulguet est en garde à vue.

Martin Inoua Doulguet a à faire à la justice.

Martin Inoua Doulguet le portail de sa maison a été incendié.

Martin Inoua Doulguet a été menacé par les sbires d’un conseiller limogé.

Martin Inoua Doulguet, sa voiture a été cabossée, ses ordinateurs cassés.

Quand un journaliste commence par déranger il subit malheureusement avec ces genres de méthodes crapules et assez souvent connues. Mais ajouter à cela, quand les membres d’une association de journalistes se liguent pour avoir sa peau, cela dérange encore plus.

Selon nos infos, la cabale a été orchestrée depuis fort longtemps, et ce qui est dommage est que le sieur Djonabaye Dieudonné alias Bendjo est l’épicentre de plusieurs tentacules dont les ramifications sont faites depuis la présidence, de certains journalistes qui font leurs stratégies depuis le bar de Mme Chantal Ngardoum. L’excès du vin est mauvais, cela est démontré à travers tous les supports de publicités “ A consommer avec modération “. Si Nagoum Yamassoum et Mangaral Banté, ceux-là qui ont soutenu Bendjo, ont fini par son excès de ce qu’on connait, le jeune journaliste Doulguet ne sera qu’une bouchée pour celui qui occupe la HAMA et qui règle des comptes sur instruction.

La règle de la confraternité doit être générale, mais elle ne s’applique pas aux uns, et faire fi de porter des ornières quand les copains la foule aux pieds. Cette déontologie professionnelle qui exige la non-atteinte à l’éthique est-elle unique envers Martin Inoua Doulguet, où bien les autres confrères aussi doivent l’observer ? Si oui, que Mr Bendjo balaie d’abord par sa propre porte. A-t-il oublié les brulots qu’il publiait contre Nagoum et Mangaral fut-il un moment ? où, a-t-il aussi fait fi de ne pas voir ce que ses amis écrivent dans leurs éditions ?

L’excès du vin n’est pas bon. Dans l’ivresse du vin et du pouvoir, on oublie beaucoup de choses. En condamnant Martin Inoua Doulguet, Bendjo assouvit sa vengeance, puisqu’il n’a jamais voulu prendre en compte que le journal Salam fait parti des autres organes de la presse. L’excès du vin rend amnésique, mais il faut savoir revenir à l’exemplaire et conduire les conciliations de manière égale, pas à charge parce qu’il y a un bailleur qui l’attend au bar de Mme Chantal Ngardoum.

Correspondance particulière

Tchadanthropus-tribune

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