13 novembre 2024 #TCHAD #Opinion libre : Aujourd’hui, plus que jamais, nous sommes appelés à une nouvelle manière de concevoir le changement et de repenser notre avenir commun.
L’élection de Donald Trump a marqué un tournant, modifiant les dynamiques géopolitiques traditionnelles et redéfinissant les relations entre les grandes puissances. Autrefois, les révolutions se tramaient dans l’ombre ; désormais, elles se jouent autour des tables de négociation, où l’on pèse les tensions et envisage des chemins partagés vers un avenir collectif.
Les défis d’aujourd’hui ont changé de nature. Le climat, autrefois perçu comme une question périphérique, est désormais au cœur de nos préoccupations. La montée des phénomènes naturels nous rappelle, souvent brutalement, les erreurs accumulées au fil des décennies. Les catastrophes se multiplient, et les vagues de troubles semblent inévitables. Pourtant, en tant que communauté solidaire, nous avons la capacité de dresser, en première ligne, un étendard d’espoir et de résilience, et de marcher ensemble vers un horizon commun, porteur de promesses.
Laissons derrière nous les divisions et les querelles, ces démons qui fragilisent notre cohésion. Le bien et le mal résident dans les actions de chacun ; choisissons donc le bien, non par simple obligation morale, mais par conviction commune que notre avenir en dépend.
En tant qu’humbles citoyens, nous n’aspirons qu’à une seule chose : construire, ensemble, un avenir meilleur pour tous. Que notre nation soit un phare, un exemple de solidarité et de progrès, où chaque effort compte et où chaque pas nous rapproche d’une vie plus juste et équitable pour chacun. Ensemble, tournons-nous vers cet horizon, avec la ferme conviction que le meilleur est à venir.Frères et sœurs, prenons un instant pour suspendre le temps. Juste un instant, arrêtons-nous ensemble, dans ce monde en perpétuelle agitation, et laissons-nous traverser par une réflexion profonde, celle qui invite à regarder au-delà de nos différends, à méditer sur ce qui fut et ce qui est perdu.
Pensons à ceux qui ne sont plus parmi nous, à nos chers disparus dont les sourires et les espoirs résonnent encore dans nos cœurs. Réfléchissons aux erreurs accumulées, aux rêves abandonnés, aux moments égarés dans la course effrénée de la vie. Il est temps de cesser de fuir ces souvenirs, ces instants précieux, et de les accueillir avec la sérénité du pardon. Pardonnons-nous mutuellement pour les erreurs du passé, pour les mots non prononcés, pour les gestes manqués. Car c’est dans ce pardon, sincère et profond, que réside la force de notre unité retrouvée.
Nous avons longtemps été divisés, dispersés par des querelles inutiles, par des luttes stériles, et pourtant, il n’y a de force que dans le collectif. Lorsque nous unissons nos mains, nos esprits et nos cœurs, lorsque nous décidons de marcher ensemble, rien ne peut entraver notre marche vers un avenir meilleur.
À celui qui doute, tendons la main. À celle qui hésite, offrons notre soutien. les divisions de l’ego ou les ombres du passé obscurcir notre horizon. Laissons nos énergies converger vers un objectif commun : bâtir, main dans la main, un monde où chacun trouve sa place, où la paix et l’amour ne sont pas de simples mots mais une réalité tangible.
Invitons-nous mutuellement à cette réflexion, à cet élan vers le collectif. Frères et sœurs, avançons ensemble, d’un pas sûr et déterminé, vers un avenir que nous construirons tous ensemble, où chaque sourire partagé et chaque geste bienveillant seront les pierres fondatrices d’une vie meilleure pour nous et pour les générations à venir.
En première ligne, nos forces de sécurité et de défense se dressent face à l’ennemi avec détermination et bravoure. Ils incarnent l’exemple même de l’unité face à l’adversité, nous montrant qu’ensemble, rien n’est insurmontable. Force à eux, courage à eux dans chaque combat. tel est leur devoir, pour la nation qu’ils protègent sans relâche.
Wa Djah alnakou Chouhouban wa khabayilan le tit harafo Akrama Koum inda allah atkhakoum
Albadour Ahamat Acyl
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