Jacques Kossadoum-Naodinane                                                 

Atrone 7e Arrondissement ; N’Djamena-Tchad

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E-mail :jacqueskoss@yahoo.fr

A

Madame le Haut-Commissaire aux droits de l’Homme de l’ONU à Genève-Suisse

Office of the United Nations High Commissioner for Human Rights

Human Rights Council Branch-Complaint Procedure Unit

OHCHR- Palais Wilson

United Nations Office at Geneva

CH-1211 Geneva 10, Switzerland

Fax:(+4122)9179011

E-mail: CP@ohchr.org

Website:http://www.ohchr.org/EN/HRBodies/HRC/Pages/HRCIndex.aspx

 

Objet : Appel à l’urgence

J’ai  l’honneur de vous écrire cette 2ème lettre ouverte après celle du 04 décembre 2018, puisque dans ma communication du 10 février 2021, j’ai insisté sur l’urgence par rapport à la push que je porte dans mon corps et aussi sur le délai de procédure à ma requête devant la Cour qui est dépassé.

Pour rappel, je vous disais dans cette communication qu’une push a été introduite dans mon corps en avril 2012, par l’infirmière chef de service, Madame S .FRANCENNE Sous la direction du Dr ANNELIES  TONNELIER et du Dr Marie-Paule GUILLAUME à l’hôpital Saint-Pierre à Bruxelles en Belgique, sous ordre de certains Etats membres de l’Union Européenne. Je disais aussi que la push était remontée au niveau du rein pour y rester et finalement elle s’est  éparpillée au thorax et aux côtes, me faisant trop mal et m’empêchant de dormir. Vu cette évolution dangereuse de cette push, j’ai appelé à l’urgence du Conseil, dans ma communication du 10 février 2021, mais le Conseil n’a pas réagi jusque maintenant, et cette push a atteint mes nerfs, et toutes les parties de mes membres traversées par cette push sont paralysées. Or la situation aurait pu être sauvée si le Conseil avait respecté l’une ou l’autre des propositions que j’ai faites dans ma communication du 10 février. Dans cette communication, j’ai demandé à ce que l’ONU s’engage à me soigner, puisque la push a été introduite dans mon corps quand j’étais encore sous sa protection, et ceci, dans un délai d’attente de 6 jours, ou soit le Conseil procède à la restitution de mes biens matériel et financier pour me permettre de me soigner, puisque le délai est déjà fini et dépassé. Mais par contre, ce sont les dépenses engagées pour les soins médicaux qui seront remboursées par  celles ou ceux-là qui ont introduit la push dans mon corps, et les clichés de soins médicaux seront aussi envoyés à l’ONU pour ses rapports. J’ai aussi dit que je ne porterai pas plainte contre l’infirmière et ces deux médecins cités ci-haut, puisque leur acte est un mal délibérément préparé contre moi et relève de méchanceté, et ma foi en la religion chrétienne m’interdit de rendre le mal pour le mal, puisque Dieu le Tout-Puissant dit que c’est à lui la vengeance, et on ne rend pas le mal pour le mal, donc porter plainte contre eux, serait une vengeance. Mais à Dieu le Tout-Puissant de se venger pour moi.

Concernant ma requête devant la Cour des droits de l’Homme de l’ONU, le délai de procédure est déjà dépassé de six (6) mois, selon le texte de procédure en vigueur , car il y a un délai maximum de 30 mois de procédure, mais pas plus, or la Cour en a fait plus, elle est dans le 36ème mois aujourd’hui, sans que mes biens matériel et financier ne me soient restitués. En plus, le Conseil  ne s’est pas conformé au texte de procédure ni s’en est appliqué jusque la fin du délai de procédure. Par exemple, le Conseil n’a fait aucune communication au requérant que je suis, et n’a pas aussi respecté la fin du délai de procédure et c’est ce qui est contraire aux dites règles de procédure, voire une violation de  règles de  procédure en question : « La Charte internationale des droits de l’Homme », cf., « Pacte International Relatif aux Droits Civils et Politiques », articles 41 et 42. J’en appelle au respect de texte.

Madame le Haut-Commissaire,

La lenteur dans le cas actuel de ma requête est sciemment organisée. Cette lenteur n’est autre qu’une guerre d’usure, c’est-à-dire, la guerre qui consiste à user la force de l’adversaire sans l’attaquer et le faire mourir à petit feu. Donc, dans cette guerre d’usure, on s’attaque aux moyens de subsistance de l’adversaire ou encore aux moyens qui lui permettent de se déplacer  comme les membres (pieds) ou (engins) : exemple de mes biens matériel et financier confisqués et détournés délibérément et font l’objet de requête devant la Cour des droits de l’Homme de l’ONU, est un exemple de guerre d’usure, ou encore, l’exemple de la push qui a été introduite dans mon corps en Belgique par l’infirmière sous la direction de ces deux médecins cités ci-haut, où l’un des buts serait de me paralyser et de me tenir couché, puisque je venais de temps en temps auprès  des institutions concernées  réclamer mes biens, et ça les dérangeait, et maintenant à l’heure où je vous écris, mes nerfs sont atteints et je suis paralysé il y a de cela trois (3) mois déjà. Je traîne mes membres, et c’est difficile pour moi de faire plus de eux (2) kilomètre à pied. Voilà quelques exemples de la guerre d’usure parmi tant d’autres, et dont les conséquences subies sont lourdes sur ma vie et ma santé.  Je pense que ceux et celles-là qui m’ont mis la push dans le corps, seront maintenant contents et satisfaits quand ils auront appris que je suis paralysé. Est-ce que c’est ça le but de la protection, Madame le Haut-Commissaire ?  Je suis sûr que votre réponse sera non, Madame le Haut-Commissaire, puisque ce n’est pas ça le but de la protection. Avant c’était la douleur, mais maintenant c’est la paralysie, donc,  c’est une situation qui est nouvelle pour moi, et c’est difficile de la gérer, c’est pourquoi j’insiste sur l’urgence de la part du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU de faire aussi vite son travail et ça me permettra de me soigner.

L’ONU(HCR) m’avait amené entre temps bien portant en Norvège et mon retour volontaire devait aussi se faire dans le même cadre pour protéger ma personne humaine pour être aussi en bonne santé, sauf si c’était un cas majeur comme la maladie naturelle, là, je pourrais comprendre. Mais quand ce sont des autorités qui sont chargés, au sein de leurs institutions étatiques ou non étatiques, de faire protéger par  la loi de leur pays et par les instruments internationaux disponibles, qui font de telles choses, cela dépasse mon entendement. En plus, le retour volontaire dans ce même cadre se fait ensemble et au même moment avec les biens, que ce soit matériel ou financier si c’est possible, mais au cas contraire, l’Etat d’accueil ou d’asile du réfugié le fait après le départ du réfugié, mais dans un délai raisonnable n’excédant pas trois (3) mois. Mais le retour  volontaire que l’Etat de Norvège et ses complices ont fait, moi personnellement, je ne connais ni l’endroit ni l’envers. Ces Etats ont mis plus d’une dizaine d’années à le faire sans le finir, pour un travail qui demande deux (2) semaines à trois (3) mois, selon la règle du retour volontaire. Et quand je porte plainte au Conseil, le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, à son tour, met aussi plus de temps que le délai prévu par le texte en vigueur : 36 mois, au lieu de 30 comme le dit le texte de procédure.

Je suis obligé de vous dire que le retard est excessif, et ce retard n’arrangerait ni moi la victime ni le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, mais au contraire, ça affaiblirait plutôt l’efficacité du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU. Non seulement que je suis victime que je vous dis cela pour attirer votre attention sur ma situation et sur ma requête, mais nous tous, les êtres humains, nous devons apporter nos contributions à l’ONU pour que règnent les droits de l’Homme et les libertés fondamentales dans le monde. C’est dans ce sens que l’article 28 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme dit que « Toute personne a droit à ce que règne sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet. », C’est pourquoi, cet article 28 de la Déclaration me permet moi aussi de faire cette dénonciation par rapport au retard qu’a connu le Conseil des droits de l’Homme dans le résultat de ma requête.

Madame le Haut-Commissaire, tout ce que j’ai dit tout au long de cette lettre, ce n’est rien d’autre que pour vous dire que le délai de prescription selon le texte en vigueur est excessivement dépassé, et la procédure après celle qui est prescrite par la loi, comme cela se passe actuellement au Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, est illégale et injuste, c’est pourquoi je réclame par cette lettre ouverte le résultat de ma requête qui n’est autre que la restitution de mes biens matériel et financier.

 

                                   Avec ma parfaite considération

                                                                    Jacques Kossadoum- Naodinane      Image en ligne
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