
30 décembre 2024 #TCHAD #Politique : Élection législative, provinciale et communale – Une vision optique du Président, chef de l’état, le maréchal Mahamat Idriss Deby Itno.
Il faut un tout pour faire un monde, effectivement les fonctions humaines s’attachent aux fonctionnements quotidiens des êtres, à leur stratégie, et vision.
À l’aube de la transition, le jeune président tchadien avait promis de mettre en place la normalité des institutions, politiques, stratégiques et de gouvernance citoyenne. La transition s’achève selon les promesses tenues à travers les élections mises en place et qui se termine ce 29 décembre 2024, prouvant l’homme et les promesses tenues.
Il ne s’agit pas de faire de la politique politicienne, ni encore étaler une démagogie à l’air du temps. La 5e république est renforcée par l’homme de foi à travers les directifs et les instructions patriotiques. Mais l’insatisfaction des certains politiques reste dans l’interrogation totale. L’homme politique tchadien trouve son essence dans les critiques acerbes sachant ne pas déployer l’effort consenti par son adversaire.
L’arène politique a vu les sorties scabreuses de Dr Sitack deuxième personnalité de parti politique les transformateurs, et sa hiérarchie, qui à les entendre parler, ils tancent la gouvernance du régime actuelle sous plusieurs lexiques. Mais ont-ils raison ?
Succès Masra fait de la politique un accès à la présidence de son pays, rien d’autres, lui qui fait comprendre à tout un chacun que son intélligence trop étalée, couplée aux psaumes de l’église lui donne l’avantage de gouverner les tchadiens. Il oublie, ou méconnaissance abyssale de l’arcane politique au Tchad. En dehors de 7 mois passé au poste de 1er ministre, qu’a-t-il réalisé en termes de résultats probants. La politique c’est d’abord l’expérience et la connaissance sur la gestion des hommes. Mahamat Idriss Deby Itno a son acquis une gestion de la DGSSIE pendant plusieurs années, et un réservoir non démagogique des fonctions des armes. Son expérience démontre aujourd’hui de son perfectionnement à la tête du Tchad.
Sitack Yombatina, une consonance gavroche dans le verbe. Il confond lui aussi l’église à la politique, Dieu seul sait que la politique et les religions ne font pas bon ménage. Comme prêtre il allonge ses conseils assez souvent mal conçus et l’expression à tatillon.
Les ogres politiques de la scène s’abrègent de l’index à toiser le régime et les organes des élections en jouant les victimes, quant soi-même manipule les personnes à cocher des bulletins usurpés ça et là, en s’adonnant à des manœuvres dilatoires et les brandir le lendemain évoquant un bourrage des urnes. Rien de constructif sous le thermomètre ambiant, tout ce monde devient des chantres des critiques, sans trouver des solutions, du moins sans des propositions concrètes. Il faut critiquer selon la tête du client, noircir le tableau croyant en tirer les dividendes, mais personne n’est bête. La jeunesse tchadienne est tout outillée de nos jours, et la manipulation des âmes ne peut se prévaloir de l’alchimie quotidienne des populations. Ceux qui boycottent les élections à tout œuvre sont les seuls perdants à ne pas s’inscrire sur l’échiquier national. Demain, si toutes les chambres sont élues qu’auraient cette gent à proposer aux tchadiens ? Que du vent, un vent qui risque de les balayer à jamais de la scène politique.
Mahamat Idriss Deby Itno a posé les jalons de la société avec une vision politique sans pareil, et quoi que l’on pense sur les imperfections, il faut dire tout simplement que Rome et Athènes n’ont pas été bâti le même jour. Depuis longtemps, de mémoires de tchadiens aucun chef de l’état n’a pu respecter les promesses éditées. Présidentielles, législatives, communale et provinciale avec cette décentralisation évoquée.
Quel que soit la longueur de la nuit, le jour finira par se lever dit l’adage. Ceux qui ne veulent que noircir le tableau se noirciront fondamentalement. La vérité, le patriotisme sont les seuls gages d’une politique nationale, pas la vente des vents ou les locutions pérennes.