L’opposant (Kebzabo) plaide en faveur d’un dialogue national inclusif. Le porte-parole du MPS, Hassan Sylla Bakari, envoyer pour vomir, se dit heureux de constater le « rétropédalage de l’opposition qui était en train de ramer à contre-courant de l’histoire ». Par ailleurs, il déclare que le MPS est le socle de la liberté et de la démocratie au Tchad et que quiconque voudrait remettre cela en cause trouvera le parti sur son chemin. (Constater que les termes toujours couverts de menaces, des menaces utilisées avec les moyens de l’état)

“Nous constatons fort heureusement que c’est un rétropédalage de l’opposition dite démocratique qui dans un premier temps s’était targuée d’être acolyte ou de reconnaitre les gens qui sont derrière ce peloton. L’opposition a été rappelé à l’ordre par le parti au pouvoir. Nous sommes dans un État démocratique. Dans un État démocratique, il y a ce qu’on appelle les règles. Au Tchad, les règles sont définies par l’ordonnance n° 20 portant charte des partis politiques. L’ordonnance n° 20 est, on ne peut plus clair. Dans son titre 9, dans les articles allant de 55 à 60, elle a prévu des sanctions à l’égard de tous ceux qui collaborent ou soutiennent les actes de déstabilisation de la République du Tchad ou bien tout simplement à ceux qui remettent en cause la liberté, la démocratie et la souveraineté de notre pays. (Où est que Hassan Sylla Bakari met le terrorisme d’état sur ses citoyens).

Nous sommes dans une démocratie qui a ses règles mais nous ne sommes pas dans un État anarchique. Nous sommes heureux de constater que c’est un rétropédalage de l’opposition qui avant était en train de ramer à contre-courant de l’histoire. S’ils peuvent aujourd’hui s’exprimer sur toute la situation qui prévaut au pays, c’est parce qu’il y a la liberté et la démocratie. Nous avons suivi avec intérêt ce qu’ils disent. En tant que partis politiques, c’est leur rôle de pouvoir s’exprimer sur une situation. S’exprimer sur une situation est une chose, prendre fait et cause s’en est une autre. (L’opposition démocratique n’a jamais pris faits et causes avec l’opposition politico-militaire. Elle a dénoncé les actes de la Françafrique, les bombardements de l’aviation française sur des tchadiens. Là-dessus elle a pleinement le droit)

Le parti au pouvoir comme je le dis si bien, est le garant de cette liberté et de la démocratie. Le MPS est le socle de la liberté et de la démocratie au Tchad et quiconque voudrait remettre cela en cause, le trouvera sur son chemin. Nous avons des instruments juridiques issus du forum national inclusif qui a permis d’instaurer un dialogue à l’issue duquel il y a eu beaucoup de réformes, notamment le Cadre national du dialogue politique dans lequel siège l’opposition qui est un cadre paritaire. Il y a également la CENI qui est une CENI paritaire. Pour nous, la démocratie est en train d’avancer.

A l’issue de ce forum national inclusif, le Président de la République a pris la décision d’amnistier tous ceux qui avaient pour une raison ou pour une autre tourné le dos à la République. Nous ne voyons pas encore d’autres opportunités ou bien pour d’autres opportunistes qui cherchent à se faire une place au soleil afin qu’ils viennent encore remettre à mal le bien-être ou la cohésion des tchadiens », affirme le porte-parole du MPS, Hassan Sylla Bakari. » (La pseudo démocratie sur laquelle s’abrite Hassan Sylla Bakari n’est pas crédible, elle n’est garante d’aucune amnistie. Commencez déjà par rendre les biens usurpés aux citoyens, ou encore ceux qui appartiennent aux opposants qui ont signé des accords avec vous, avant de chercher à convaincre qui que ce soit)

Tchadanthropus-tribune avec Alwihda info

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