C’est précisement le 27 Avril 2021, que le Général Mahamat Idriss Deby Itno apparait à la television Nationale Tchadienne comme Président du Conseil Militaire de  transition. Son apparition intervient, sept jours après l’annonce du décès du feu Maréchal Idriss Deby Itno au frond par le général de corps armée Azem Bermadoua.

Tout le destin du Pays se reposait alors sur le jeune militaire de 38 ans épri de paix. Epris de paix parce que dans sa toute  premiere sortie  le Jeune militaire annonca la tenue d’un dialogue nationale inclusif et souverain pour régler tous les maux et les antécedants qui divisent les Tchadiens.

Un appel a même été lancé au groupe armée rebelle memécontants, se trouvant dans les champs de bataille et en exil depuis des belles lurettes. Malgré la résistance farouche de ses groupes rebellles à rentrer au pays , le Général Mahamat Idriss Deby Itno avec à ses côtés le doyen en poltique Saleh Kebzabo ont su convaincre ces derniers. Ils se sont ensuite  soumis aux conditions des Politico-Militaires au travers un accord contenant plusieurs points, dans le seul but d’unir les Tchadiens et de faire regner la Paix. Le paris est ainsi gagné par le leader de la transition.

Un sacrifice, un effort, non pas de moindre à encourager peu importe ce qu’on peut repprocher à l’homme.

Des lois d’amnestie, les mains tendues jusque là même après la fermeture des rideaux sur le dialogue au Palais du 15 janvier  ont été les centres d’intérêt des dirigeants de la transition.

A titre d’exemple, le retour d’exil de l’opposant le plus radical, influent avec un nombre important des militants  sur la scène politique, qui a  au paravant rejeter en blog les assises du Dialogue Nationale Inclusif. Le Président de Transition a fait ce qu’il  pouvait faire à sa limite pour restaurer un minimum de paix. Le Chantier n’est plus vaste.

Certes, les insuffisances n’en manquent pas avec les conflits repetitive dans le monde rural,…
Mais vu  ce parcours de combattants du Général Mahamat Idriss Deby jusqu’à cette derniere phase de la transition avec le chronogramme des élections déjà rendu public, la voie des urnes reste la seule alternative à faire prévaloir sa contradiction en lieu et place de la violence qui risque de nous plonger dans un avenir sombre et un certain.  De surcroit,  l ‘Agence Nationale de la Gestion des élections est une institutions totalement indépendante. Le chef du Gouvernement Dr Succès Masra  l’a bien précisé.

C’est pourquoi à cette ère, tous les regards doivent être tournés éssentiellement vers les urnes quelques soit nos divergences. Les acteurs politiques doivent plutot s’apprêter à  montrer leurs capacités, surtout sans crainte avec une institutions chargée de la gestion des élections totalement indépendante, s’ils comptent briguer la magistrature suprême et l’avenir nous dira mieux.

« La violence n’a jamais résolu un problème », l’on ne dira jamais assez.

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