Selon nos informations, le poste de PRAPS fait l’objet de toutes les convoitises. Ce projet est piloté par la banque mondiale, et ses cadres sont approuvés par la même organisation.

Quelque chose de grave est en train de se passer au niveau du projet régional d’appui au pastoralisme au Sahel (PRAPS), section du Tchad.

Depuis quelque temps, le projet de PRAPS attire les convoitises de certains individus qui voudraient postuler à devenir coordonnateur de ce projet, non plus parce qu’il faut viabiliser le projet en question, mais simplement à cause des fonds colossaux qui sont budgétisés.

Mieux, la banque mondiale demande des profils spécifiques pour accepter la consultation des candidatures.

Selon les mêmes sources, voilà plusieurs mois que Mr Yacoub Brahim Djouma aurait demandé en haut lieu d’être nommé à ce poste. Un décret de nomination a même vu le jour pour prise de service. Mais selon nos sources, la banque mondiale pose son veto et refuse cette nomination.

En effet, la banque mondiale a refusé la nomination de Yacoub Brahim Djouma, au motif qu’il ne remplit pas le critère pour le poste, depuis ces moments et l’avis de cette institution, la famille de ce dernier aurait fait pression sur les ministres concernés, et aurait accusé le coordonnateur sortant d’être en manigance avec la banque mondiale, et menacerait de l’abattre physiquement.

Les parents du coordonnateur sortant sont mis au courant, et une tension monte dans les travées du PRAPS. Les parents du coordonnateur sortant informés, ils se résignent à dire que cette menace de mort est comme telle, et tiennent pour responsable ceux qui sont venus menacer leur fils.

Nous sommes en train de recouper ses informations et vous revenir avec plus des détails.

Tchadanthropus-tribune

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