Un an de prison ferme et 1M de francs CFA d’amende requis contre deux directeurs de publication poursuivis pour diffamation.

RSF rappelle que la loi sur la presse ne prévoit pas de telles peines pour ce délit. La tentative de requalification des faits par l’accusation pour alourdir les peines encourues par les deux journalistes discrédite la procédure, porte atteinte à la liberté de la presse et ternit l’image du Tchad. Si le droit est dit, les journalistes seront libérés lundi.

RSF

Tchadanthropus-tribune

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