Quoi dire de très probant ?

Que dire sur le facteur logique ?

Rien à dire sur la responsabilité d’une femme, épouse, sœur.

Rien à dire sur la logique et la vision de la défense de la famille.

Tchadienne de cœur et d’esprit, cette dame s’est illustrée sur l’intelligence du combat,

Quand il faut prendre la défense de son époux. Ils sont très rares d’abord ceux qui se sont portés au-devant de la scène, pour argumenter et convaincre l’audimat.

Tchadienne, elle a rehaussé et illustré le symbole de la femme tchadienne intellectuelle, battante sur les sujets de l’heure, un combat ardu contre la machine oppressante de la Françafrique qui a fait de l’objectif l’assassinat de son époux Hissein Habré.

L’année 2021 fut celle-là plus éprouvante, pour celle qui face aux médias, aux médisants et la machine oppressante de la France à travers Macky Sall comme circuit d’atteinte.

Elle n’a jamais lésiné éluder une question quand il s’agit de défendre le Tchad, le pays de ses entrailles, de ses racines. Fatimé Raymonne Habré est celle-là, toujours présente, à l’écoute des cœurs éprouvés.

Contre l’arbitraire elle s’est toujours levée comme un bouclier. Une lutte sans décompte sur le temps, sur l’espèce, pourvu qu’on l’affronte de face, mais pas de la manière lâche, dans les travées de l’ingratitude.

Elle s’est battue avec ses armes, les siennes, viscéralement réduit aux moyens personnels face à toute une organisation pire que le Ku Klux Klan des états qui avaient pour objectif éliminer l’ex-président Hissein Habré.

Mère de famille dévouée, Fatimé Raymonne Habré a su faire de l’éducation de ses enfants, aujourd’hui des intellectuels de calibre, ingénieurs, architectes, avocates, malgré l’oppressante organisation criminelle en face.

Perspicace, et racée, elle a fait face contre les ennemis de l’intérieur comme de l’extérieur, comme si prendre la défense de son époux n’est pas un des idéaux portés et établis pour une mère de famille.

Son combat rappelle fort éloquemment les Africaines résistantes face à l’arbitraire, qui ont vu leur leader de mari embastillé sans forme de procédure, à charge et avec un parti pris ne respectant nullement les fondements de la justice.

Nombreuses seraient ces dames appâtées par une vie rose, et battant en retraite face à cette armada vociférant.

Panafricaniste viscéral, le seul mot de l’hégémonie impérialiste hérisse sa peau, et la glace vent débout. Elle fait du devenir africain, de sa jeunesse des idéaux fondamentaux. Le 1er Tome de son livre Afrique Débout est l’illustration parfaite de son engagement intellectuel auprès de la jeunesse africaine et tchadienne. Le deuxième Tome du même titre sera bientôt dans les bacs.

Dans chacune de ses conversations, on trouve cet amour pour le Tchad, son développement, sa justice et sa bonne gouvernance. Elle en fait un leitmotiv sans compromis, on est d’abord africain dans l’âme et dans l’esprit.

Toujours, alerte sur des sujets divers, portant sur la défense de la jeunesse tchadienne, africaine par des analyses pertinentes et sérieuses.

Plus d’une décennie, elle a su adopter une stratégie, force de combat en médiatisant le problème et les injustices faites à son mari dans le traitement abject d’une justice complaisante ayant une trajectoire unidirectionnelle.

Face à la mort, toute action s’arrête, mais les idéaux sublimes de l’homme Habré continuent de nager en tout patriote qui aime son pays. C’est maintenant que certains esprits qui avaient des œillères commencent par reconnaître le combat de feu Hissein Habré.

Respect Madame Fatimé Raymonne Habré

Pour la femme tchadienne

Et pour la mère de famille.

 

Tchadanthropus-tribune

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