Sous ce soleil brillant de l’après-midi de dimanche, aux regards des passants, sans froid aux yeux, un homme à la quarantaine révolue et une femme mariée ont été pris la main dans le sac à l’auberge Métropole de Sabangali dans le 3e arrondissement de N’Djamena. Dixit un adage populaire, 99 jours pour le voleur mais un jour pour le propriétaire.

Comme les murs ont des oreilles, jeunes, femmes et enfants du carré 3 ont assisté à ce spectacle gratuit mais honteux. Ce n’est pas surprenant car des telles scènes se passent souvent dans la ville de N’Djamena. Il a fallu l’intervention de la police et de la gendarmerie nationale pour faire sortir ce couple infidèle de leur ‘’jardin d’Eden’’, sous le regard de quelques membres de la famille de l’époux.

Selon le témoignage de ceux qui ont assisté à la scène, la femme est mère de quatre enfants et l’homme est détenteur d’une grande l’alimentation.

Arrivé à sa voiture, l’homme a emprunté celle de la police pour sauver sa peau. C’est l’un des côtés négatifs de l’infidélité. Si le dimanche est consacré à célébrer le culte pour les uns, c’est un jour de rancard à l’auberge pour d’autres, lance un passant.

L’infidélité de la femme est trop fréquentent et est source de divorce. Ce qui suscite des interrogations sur les raisons qui poussent les femmes mariées dans les bras d’un autre homme.

Tchadanthropus-tribune avec Alwihda Info

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