En effet, malgré le retrait provisoire de délégation du pouvoir, la Fédération tchadienne de Football Association a organisé le 12 décembre dernier son assemblée générale élective avec la réélection du président sortant à la tête de cette institution sportive.

Certains amoureux du ballon rond estiment que la tenue de cette assemblée générale élective à sa raison d’être et que le politique ne peut en aucun cas s’immixer dans les affaires de la FTFA. D’autres par contre, trouvent l’organisation de l’assemblée générale de la FTFA comme un défi lancé à l’État et que le ministère des Sports doit en tirer les conséquences.

Brahim Wanglaouna Foullah un autre transfuge de la fédération de football, candidat au poste du président de la fédération tchadienne de football aurait déclaré que l’assemblée générale tenue le 12 décembre dernier est nul et de nul d’effet, car selon lui, cette assemblée générale élective organisée par la fédération tchadienne de football association est en violation des textes. Il précise que l’équipe sortante de la fédération tchadienne de football est non seulement illégale, mais elle veut à tout prix s’accrocher en foulant au pied les textes.

Ce problème de la fédération qui se pose depuis plusieurs années d’échec en échec doit changer en profondeur, et il n’y a que l’exécutif au sommet de l’État qui puisse trancher une fois pour toutes.

Une entité, ou groupe de personne qui a échoué doit laisser la place à un autre groupe de projet pour l’essor du sport tchadien.

Tchadanthropus-tribune

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