Le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) organise ce 27 août un atelier de validation du curricula sur les questions de l’extrémisme violent, la radicalisation, l’autonomisation, la santé reproductive et la lutte contre les Violences Basées sur le Genre VBG). Cet atelier a vu la présence des leaders religieux et des chefs traditionnels.

La lutte contre l’extrémisme violent, la radicalisation, les questions liées à l’autonomisation, à la santé de reproduction et à la lutte contre les VBG sont des priorités au Tchad. De ce fait, l’UNFPA, en collaboration avec Technidev, organise, du 27 au 28 août, un atelier sur la validation d’un curricula.

En effet, ce curricula est à l’usage des Madrassas, écoles confessionnelles, chefs traditionnels et leaders religieux. Les représentants du Conseil Supérieur des Affaires Islamiques (CSAl), de l’Entente des Eglises et Missions Evangéliques du Tchad (EEMET) et du Haut Conseil des Autorités Coutumières et Traditionnelles du Tchad (HCACT) étaient également de la partie.

Lançant officiellement l’atelier, Dr Adoum Mbodou, représentant du Représentant de l’UNFPA au Tchad, a félicité l’engagement des chefs traditionnels et leaders religieux « pour l’amélioration de la qualité de vie de la population, la promotion de la santé de reproduction, la lutte contre les violences basées sur le genre ». Il a aussi fait mention de leurs « efforts pour la paix » au pays.

Tchadanthropus-tribune avec Tribune Échos

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