La ville de N’Djamena, souvent qualifiée de future « vitrine de l’Afrique », connaît actuellement des problèmes d’infrastructures routières qui remettent en question cette réputation.

 

En effet, les fortes pluies récentes ont laissé certaines avenues de la ville dans un état impraticable, à l’exemple de l’avenue du 10 octobre et de l’axe Dembé-Rond-point Gazelle. Cette dégradation de la voirie pourrait entraîner des problèmes imprévus de sécurité routière pour les usagers de cette route.

L’axe menant de Dembé au rond-point Gazelle est actuellement fortement dégradé, obligeant parfois les conducteurs à n’utiliser qu’une seule voie de circulation, pour éviter les parties de la route submergées par les eaux.

Cette situation dangereuse, qui oblige les automobilistes et les motocyclistes à emprunter une seule voie, augmente considérablement le risque d’accidents, avec potentiellement des pertes en vies humaines, étant donné que la route est trop étroite pour permettre le passage de deux véhicules.

La dégradation de cette route est un grave problème pour la sécurité routière, avec des cassures, des nids-de-poule et des zones d’eau stagnante observées le long de l’axe. De plus, les caniveaux sont obstrués par du sable et des déchets, exacerbant encore davantage la situation.

Les détériorations touchent une grande partie de cette voie, causant des désagréments considérables aux usagers. En cette période de fin de saison des pluies, de nombreuses artères principales, rues et ruelles de la ville de N’Djamena, se trouvent dans un état similaire de désolation.

Les eaux de pluies stagnantes rendent ces routes de plus en plus impraticables, ce qui constitue un sérieux problème pour les habitants du centre-ville de N’Djamena, ainsi que pour les usagers de ces voies.

Le Tchadanthropus-tribune avec Alwhida

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