09/09/2016: TCHAD/l’insalubrité des auberges: De sources concordantes, les auberges de la ville de N’Djamena seraient dans une insalubrité grave, sans contrôle des inspecteurs de l’office du tourisme. D’après nos infos, plusieurs auberges sont dans un état d’insalubrité poussées, cafards et petits lézards y trouvent refuge. À N’Djamena, la capitale tchadienne, trouver un coin pour un passe-temps, ne cause plus de souci. Les auberges et autres motels poussent comme des champignons. Mais, le constat fait sur le terrain est alarmant. Le manque d’entretien de ces différentes infrastructures laisse à désirer, et met dans l’embarras les touristes de passages, tout comme ceux qui s’adonnent à la culture du sexe. Pourtant transversalement N’Djamena ne vit que de l’adultère, de beaucoup de filles de joie, de femme qui trompent leurs maris, des filles à plusieurs copains, une dépravation des mœurs qui fait une rentrée d’argent à ces propriétaires d’auberges. Mais l’entretien de ces lieux, reste toujours dégradant, pas de ventilation ni d’aération, aucun standing et l’insalubrité permet aux insectes rampants et volants d’y élire domicile. D’après un habitué, dans certaines auberges les conditions d’hygiène exposent à diverses maladies. Les  renseignements sur le coût de la passe d’une heure seraient entre 4000 FCFA à 7500 FCFA l’heure, cela nous permet d’évaluer facilement l’évolution de ce commerce tant la demande est croissante. Dans la plupart des auberges, sans citer les plus huppées destinées aux Tchadiens d’en haut, ceux qui fricotent avec leurs secrétaires, assistantes et autres responsables de département, on y trouve des filles de joie, prête à s’offrir au premier client. Et les clients ne font pas défaut. À peine une finie avec son client, qu’une autre entre avec un autre, sans aucune forme d’entretien de la chambre libérée. Ailleurs, des jeunes filles et des femmes fourmillent dans la cour. Les yeux rivés sur chaque homme qui fait son entrée, leur technique d’approche est la salutation. Puis, elles demandent en arabe local, “n’andasso Wa ?” dite dans une tendresse carnivore. Entretemps, sans aucun contrôle des lieux ni un standing adéquat, l’état perd dans sa promotion du tourisme, et une entrée de recette en taxation, et pire ce sont nos compatriotes qui seront atteints de différentes maladies.

 

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