Ceux qui nous accusaient d’extrapoler en auront pour leurs yeux. Letchadanthropus-tribune l’a souvent rapporté que les dirigeants du Tchad actuel sont tous des voleurs, c’est eux qui saignent notre pays à sang et appauvrissent sa population, et Abdoulaye Sabre Fadoul alias Djiddo en est un.  

 

Bien lotis au ministère secrétariat général du gouvernement (SGG), Djiddo a introduit il y a quelques mois le nom de ses deux frères sur la liste des décrets que devrait signer Idriss Deby. Moussa Fadoul, vrai fils de son père qui n’a même pas le bac comme directeur du domaine immobilier au ministère SGG et Souleyman Fadoul au marché public. Pire, derrière la façade d’un cadre qui se veut modèle, docteur rapace de l’espèce corrupteur-corruptible, Djiddo dilapide plusieurs millions de nos francs, saignant les recettes et les dividendes du peuple tchadien. Ce suppôt de l’impérialiste qui informe et envoie des rapports de l’intérieur sur le régime Deby à ses parrains en occident, fait rentrer de l’argent en espèce en France, pour les verser sur ses comptes banque BNP-Parisbas N° 04338263H27 (Voir document exclusif de Tchadanthropus-tribune). De l’argent volé au peuple tchadien pour agrémenter ses fantasmes.  

 

À combien s’élève le salaire d’un ministre au Tchad pour permettre tant de largesse? À l’image d’un arriviste, il jouit de ce qui ne lui appartient pas. Avant de rentrer à N’Djamena par le vol Air-France AF558 – KL2226 – DL8568 de ce jeudi 16 octobre 2014 dans l’après midi, il laisse ce magot à sa femme Franco-Tunisienne pour un versement occulte. Idriss Deby sera forcement responsable de ses sbires devant le peuple le jour où Dieu demandera justice tant qu’il gardera les mêmes voleurs de la République. Après le détournement de la fête MPS de Biltine, après les multiples détournements aux postes et télécommunications, les détournements au ministère de la Justice, le partage tout azimut des marchés publics après octroi des marchés par sa stature au ministère SGG, le voilà ici, face aux tchadiens par ses multiples forfaits. Même la honte devient un vain mot face à ce dilemme fait au peuple.  

 

Dieu sauve le Tchad. Faudrait être apatride pour accepter cela. Il faut détester le Tchad pour le saigner ainsi.


 

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